Haoua, vendeuse de galettes. Deuxième partie : Com
Datte: 26/04/2018,
Catégories:
Humour
Première fois
Anal
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... jour là j’en avais voulu à Haoua, l’accusant presque d’être à l’origine de la situation. Elle avait beau protester et pleurer, j’étais resté de mauvaise humeur et parfaitement de mauvaise foi. D’ailleurs, nous étions rentrés plus tôt que d’habitude et nous n’avions même pas fait l’amour. Par ma faute ; parce qu’elle, elle avait tout fait pour m’exciter et me redonner de l’appétit pour son merveilleux corps.
En la déposant en larmes, devant la porte du bâtiment qu’habitait maman, je ne m’imaginais pas que je venais de faire le premier pas vers le mariage. Haoua raconta ce qui s’était passé à maman, qui m’appela aussitôt pour m’engueuler.
- Je ne veux plus que tu traites Haoua comme tu l’as fais aujourd’hui ! D’une part parce qu’elle n’est absolument pour rien dans le fait que je veuille que tu l’épouses et d’autre part parce que c’est une fille bien, qui a eu bien des malheurs dans sa vie et que tu es entrain de détruire en la traitant comme tu l’as fait ! D’ailleurs, je vais lui interdire de sortir avec toi, avant que tu ne lui demandes pardon !
- Quoi ? Lui demander pardon ! Et quoi encore ! répondis-je, dépité par la tournure que prenaient les choses.
Elle raccrocha, sans même répondre. J’étais hors de moi ! Quoi, une fille qui me devait tout et qui osait se comporter comme cela ! J’étais bien entendu, de mauvaise foi ! Au fond de moi, je savais pertinemment qu’elle n’était absolument pour rien dans la position qu’avait prise maman. Haoua, je le savais, était ...
... très heureuse de vivre les moments qu’elle vivait avec moi; sans prétendre aucunement à un autre statut. Elle voulait sa part de bonheur dans la vie. Et c’était tout !
Connaissant le caractère entier et la volonté de maman, je savais que tant que je n’aurais pas fléchi, je ne reverrais pas Haoua. Cette seule pensée me faisait flipper. Cela faisait uniquement deux jours que je ne la voyais pas et, déjà, elle me manquait ! Elle me manquait physiquement et elle me manquait même moralement. Je venais de me rendre compte qu’elle m’était devenue indispensable. Que j’avais besoin d’elle auprès de moi. J’essayais de lui téléphoner, mais à chaque fois je tombais sur maman (elle lui avait confisqué son téléphone) qui me raccrochait au nez.
J’allais lui rendre visite au salon dans lequel elle travaillait, mais la patronne (certainement instruite par maman) me fit savoir que Haoua avait pris un congé d’un mois. J’étais désemparé. J’essayais de me consoler dans les bras de Attika, qui s’employa, sans résultat, à chasser Haoua de ma tête. Je crois même que j’ai été odieux avec elle : elle me dit par la suite que je l’avais traitée pire qu’une pute, avec brutalité et condescendance. Ce fut d’ailleurs elle, la deuxième fois qu’elle voulut me donner du plaisir, et qu’elle avait encore une fois fait fiasco, qui me dit :
- Mon pauvre Ali, tu es complètement dingue de cette fille ! Qu’attends-tu pour aller la retrouver et lui demander sa main ? Ta maman a gagné et la bataille et la guerre ...