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Haoua, vendeuse de galettes. Deuxième partie : Com
Datte: 26/04/2018, Catégories: Humour Première fois Anal Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... avait en bouche. Je laissais passer une seconde pour qu’elle reprenne sa respiration et reprenais le va-et-vient implacable de mon sexe dans sa bouche et sa gorge. C’était tellement bon (pour moi, bien évidemment) ! Je sentais que je n’allais pas tarder à jouir dans cette bouche, si chaude et si accueillante. J’accélérai le rythme de mes va-et-vient, sans plus tenir compte de la gêne et de la douleur que je produisais chez ma partenaire. Je voulais jouir ! C’était tout ce qui comptait ! Et effectivement l’orgasme qui arriva était superbe ! Très intense ! Il se nourrissait de la douleur de Haoua ! J’éjaculais plusieurs fois dans sa gorge et sa bouche ! Elle ne pouvait pas tout avaler ! Elle ne savait pas s’y prendre ! Une grande partie ressortit à l’extérieur, parce qu’elle le rejetait volontairement et parce qu’aussi il était expulsé par le va-et-vient de mon sexe qui continuait à bombarder sa bouche. Je finis par sortit complètement de la cavité buccale et à finir d’éjaculer sur son visage et son cou en me masturbant devant les yeux étonnés de ma mie. Elle n’avait jamais vu un homme se branler ! Je me mis à genoux devant elle et la pris dans mes bras. Elle éloigna sa tête pour ne pas me salir avec le sperme qu’elle avait sur le visage et essaya de parler. Sa voix était toute éraillée à la suite de la forte pression de mon sexe sur sa gorge et ses cordes vocales. - Tu m’as vraiment fait mal ! Plus que quand tu m’as dépucelée par devant et par derrière. Je ne ...
... comprends pas que des femmes puissent aimer cela ! Toi tu as beaucoup aimé ! N’est-ce pas ? Ne me dis surtout pas que j’ai autant souffert pour rien ! - J’ai adoré et avec le temps, toi aussi tu adoreras ! Il faut seulement apprendre à tout contrôler ! Tu me pardonnes ? - Evidemment que je te pardonnes ! Nous continuâmes à nous voir et à nous aimer régulièrement. Mais il nous manquait quelque chose d’essentiel, pour que notre bonheur soit complet : passer nos nuits ensemble. Mais à chaque fois, il fallait que je la ramène chez maman. Nous avions la nostalgie des trois nuits que nous avions passé à nous aimer et à dormir dans les bras l’un de l’autre. Mais maman refusait obstinément de la laisser découcher. Longtemps, je n’avais pas compris son entêtement et, un jour je le lui fis comprendre que cette nuit, je risquais de ne pas la ramener et qu’elle resterait passer la nuit chez moi. J’avais prétexté de l’emmener dans une soirée qui devait durer jusqu’au matin et qu’il valait peut-être mieux ne pas revenir chez elle à l’aube ! - Quelle que soit l’heure, tu la ramènes ici ! Si tu veux qu’elle passe la nuit avec toi, tu n’as qu’à l’épouser ! Ni Haoua, ni moi ne nous attendions à cette sortie de maman. Moi j’étais viscéralement opposé au mariage et Haoua qui connaissait mon aversion n’avait jamais eu le moindre espoir qu’un jour je puisse penser l’épouser. Je venais de comprendre que maman s’était mise en tête de me marier et surtout de me faire épouser sa protégée. Ce ...