Digression un soir de pluie
Datte: 04/12/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
couple,
fsoumise,
cérébral,
revede,
Auteur: Nab\, Source: Revebebe
... j’aime ça. J’ai des images qui me viennent en tête après un échange torride par texto.
Le sexe d’un homme me manque tellement, son sexe, me manque tellement. S’il était à mes côtés, je déferais sa braguette et je sortirais son sexe sans ménagement, pour l’engloutir, sa peau chaude et douce contre ma langue. Je sais qu’il perlerait une goutte d’excitation sur son méat, que je m’empresserais de recueillir sur le bout de ma langue. J’ai le goût dans la bouche rien que d’y penser. J’aime passer ma langue tout le long de son sexe, jouer avec, faire tourner ma langue sur son gland, puis aspirer son sexe pour qu’il se sente à l’étroit dans ma bouche et que moi, je me sente complétement remplie. Il passerait sa main dans mes cheveux au bout d’un moment, et se mettrait à me dominer complétement, il enfoncerait son sexe jusqu’au plus profond de ma gorge, me faisant hoqueter. Et mon sexe se tremperait d’excitation.
Alors n’y tenant plus, il m’enlèverait mon string et sa langue viendrait lécher mes grandes lèvres avant de s’introduire dans mon antre. J’aime voir sa tête entre mes jambes, pouvoir empoigner ses cheveux quand le désir monte. Souvent, par réflexe, mes jambes se resserrent autour de sa tête et il les rouvre violemment. Il me regarde alors, droit dans les yeux, avec un regard sombre et enfonce deux doigts dans ma chatte. L’orgasme peut me prendre dans l’instant, faire trembler mon corps. J’ai envie qu’il arrête de jouer avec mon clitoris car cela me rend folle, et ...
... c’est un plaisir qui peut vite devenir agaçant, mais il s’en amuse le bougre ! Et continue de passer sa langue encore et encore contre lui. Si je dis non, il continue de plus en plus, jusqu’à ce que je jouisse encore. Il sait, que je n’ai pas besoin de ça pour être trempée, puisque lui sucer la queue est la meilleure façon de m’exciter, mais il aime jouer avec moi, jusqu’à ce que je l’attrape et lui demande crûment :
— Prends-moi.
Alors, il sort son sexe et le pose contre ma chatte, il se frotte doucement contre mon clitoris tout en sachant que j’aimerais qu’il soit en moi. Souvent il me regarde lubriquement, alors que je le supplie du regard d’entrer en moi. Mais il me mordille les seins, se frotte encore et, brutalement, me possède. Un coup de rein violent, presque douloureux, mais qui me fait jouir dans l’instant. Mon corps est parcouru de spasmes incontrôlables pendant qu’il commence de frénétiques va-et-vient.
Tout à coup, le missionnaire ne lui plait plus, il me retourne, comme si j’étais une poupée de chiffon, me met à quatre pattes, mes seins bloqués contre le mur, la tête tirée en arrière parce que sa main me tient les cheveux, l’autre plantée sur ma hanche. Il me pilonne, mes seins frottent contre le mur pendant qu’il me pénètre comme si sa vie en dépendait. Il appuie sur mes reins pour mieux me cambrer et me prendre comme une chienne. Son souffle chaud dans ma nuque, ma bouche entrouverte et mes cris nous amènent à l’apogée de l’excitation, et ses ongles ...