Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (38) : notre Pacte candauliste.
Datte: 04/12/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... crisper.
Je presse mes mouvements et enfin j'ai une bonne jouissance. Pour ne pas perdre ma jouissance, je pose mes deux mains sur le vagin. Il me semble que je jouis plus longtemps ainsi.
Philippe avait tenu à m’accompagner pour choisir avec moi. Il a compris tout de suite ce que j’étais en train de faire. Il est entré sans faire de bruit dans la cabine et n’a rien perdu d’un spectacle qu’il adore, celui où je me laisse aller au plaisir solitaire.
Philippe s’est débarrassé de son pantalon et de son slip, il s’approcha de moi. Il bandait comme je l’avais rarement vu.
• Chéri, tu es fou, pas ici quand même !
• Une salope comme toi, ça se baise partout. C’était si beau quand tu étais en train de te branler, ma chérie. La fille va t’entendre crier de plaisir. Dommage qu’il n’y a pas d’autre mâle dans le magasin, je lui aurais demandé de venir m’aider.
• Tu me suffis mon amour. Viens me prendre, j’ai envie ! Assied toi sur cette chaise, je viens sur toi, tu vas me la mettre bien profond !
Nue, je le chevauchais, empalée sur son sexe, me démenant sur ce pal, le laissant me combler bien à fond. Je remuais le ventre pour frotter mon petit bouton contre son ventre, mes mèches dansant dans mon cou, mes seins se balançant au rythme de notre danse frénétique. Philippe empoignait mes fesses à pleines mains, je roucoulais :
• Hum.. ma chérie … tu aimes ?
• Oui …. j’aime …
• Tu aimes la bite ?
• Oui, j’aime ta bite …
• Tu aimes te faire enfiler … tu ...
... aimes sentir des centimètres de bite partout en toi …
• Oh oui …. c’est trop bon …. encore …
Je gémissais. Puis, sa main remonta le long de mon corps pour caresser ma nuque, tourner vers l’avant et effleurer mes lèvres :
• Je suis sûr que tu aimerais avoir des centimètres de bite en même temps dans la bouche …
À ces mots je happais goulûment son doigt et le suçais avec frénésie, redoublant d’excitation.
• Tu vois, tu aimes ça.. tu es une salope …
• Oui, je suis une salope …. J’adore me faire ramoner, tu le sais bien mon Philippe … hummm … j’adorerais me faire ramoner maintenant par deux queues …
• Dis-moi, ma salope adorée … tu penses à quoi là …? quelles images traversent ton esprit en ce moment …?
D’une voix gémissante, secouée par les ondes de plaisir qui m’inondait, j’avouais alors :
• Je vois des queues, plein de queues, de grosses queues dures autour de moi … plein de mecs qui me bourrent tous les trous et qui déchargent … hummm .. plein de sperme qui ruisselle sur moi … j’aime ça … je suis une salope juste bonne à être enfilée … hummm
Dans un ultime râle, Philippe jouissait également, m’envoyant de longues et chaudes giclées dans la chatte. Je me laissais tomber sur son torse et nous nous sommes embrassés tendrement et amoureusement.
En sortant, le sperme coulait le long de mes jambes. La vendeuse était à proximité immédiate de la cabine, je compris, à son visage marqué par le plaisir, à son chemisier mal boutonné qu’elle s’était caressée ...