1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (38) : notre Pacte candauliste.


    Datte: 04/12/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... refasse pas le coup de 2003, où la robe choisie était absolument indécente. Je voulais une robe vaporeuse et impressionnante, mais dans le style classique. Philippe, lui, voulait une fois encore une mariée sensuelle. Je comprenais que ce mariage était son triomphe, la démonstration aux yeux de tous que notre couple avait résisté à toutes les tempêtes et qu’en définitive, c’est le mari candauliste, souvent humilié, méprisé, jugé peu performant, qui avait eu la préférence et avait reconquis de haute lutte la belle Olga.
    
    Philippe voulait une robe de mariée transparente, un must pour une mariée sensuelle et romantique. Je finis par accepter un compromis : une robe de mariée hot, avec des coupes et des décolletés audacieux, à l’avant comme à l’arrière. En essayant cette merveille, je voyais mon corps dans la glace. Et je devais reconnaitre que j’avais conservé des formes parfaites, malgré les plaisirs effrénés et les maternités : brune, avec mes longs cheveux tombant sur les épaules, mes grands yeux noirs, ma taille (1m70), mes petits seins et de superbes jambes conduisant vers une croupe vertigineuse et cambrée, avec une belle paire de fesses tendues naturellement, comme une invitation agressive au mâle. J’étais excitée, ma chatte était humide, mes tétons étaient durs. J’ai eu une envie irrésistible de me masturber, en pensant à des mâles vigoureux qui viendraient me baiser devant Philippe.
    
    Je commençais par la poitrine, quelques effleurements, mais elle réagit bien mieux ...
    ... aux lèvres d’un amant cueillant la pointe de mes seins. Je descendais plus bas, mes effleurements attisant quelques doux frissons. Mes tétons se dressent, j’ai la chair de poule. J’aime alors écarter largement mes cuisses et mes fesses, sans encore me toucher mais pour sentir l’air s’engouffrer vers mes puits de plaisir.
    
    Lorsque mes doigts rencontrent mon intimité, je suis déjà humide et accueillante. Je sens en moi la place faite au désir par le besoin d’un sexe. Je sais que mes doigts ne me combleront pas, mais ils jouent avec mon clitoris qui s’épaissit, durcit, bande. Déjà, je coule un peu le long de mes doigts, je sens quelques secousses. Ma main passe entre mes jambes, remonte vers mon anus. Cela m’oblige à me cambrer encore plus, à me soumettre à mes vices, seule, en attisant moi-même un manque et une attente que seule une bite endurante pourrait vraiment combler.
    
    Après tout va très vite, mes doigts reviennent entre mes lèvres pour branler mon clitoris, aider par la mouille qui recouvre cette zone si sensible et chaude. En peu de temps, malgré l’absence de cet amant derrière moi, un orgasme me saisit, petit mais prémices d’une longue série. Je pousse un cri, sans me soucier de l’endroit où je me trouvais.
    
    Je pose alors trois doigts sur mon bouton. Ils sont mouillés avec ma salive. Ils restent liés jusqu'à un nouvel orgasme qui ne tardera pas. Je caresse tout doucement, sans appuyer au début, je poursuis plus vite en accentuant ma pression. Je sens mon ventre se ...
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