Antoine
Datte: 04/12/2020,
Catégories:
fh,
init,
conte,
fantastiqu,
initiatiq,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... Antoine sentit alors un doigt doux et tendre écarter ses fesses et suivre la raie jusqu’à l’anus, avant de le caresser gentiment. Antoine n’avait jamais pratiqué un quelconque sexe anal et n’était pas sûr de beaucoup apprécier. Il se raidit et se crispa alors qu’Irène, à genoux devant lui, le regardait d’un air disant « détends-toi, tout va bien ». Antoine ne parvint cependant pas à trop se relaxer, car le doigt forçait de plus en plus l’ouverture sans toutefois le faire souffrir. Elle y allait doucement, mouillant de temps en temps son doigt en le léchant d’un geste langoureux. Antoine, bien que gêné, finit par se relaxer, car Irène était très douée. Totalement dominé par le plaisir provenant de son membre fier, il ne se rendait presque plus compte de la main qui caressait son anus. Lorsque le doigt explorateur entra enfin dans l’endroit tant désiré, Antoine sursauta et se contracta et l’importun ressortit. Irène n’abandonna toutefois pas et après beaucoup de patience et de douceur, elle parvint à lui faire accepter cette présence étrangère. Enfin, il fut suffisamment en phase pour qu’elle puisse finir cette fellation.
— Jouissez quand vous en aurez envie, dit-elle avant de remettre son membre en bouche.
Tandis que sa main gauche lui caressait les testicules, le majeur de sa main droite entra dans le colon d’Antoine et titilla sa prostate très proche. Antoine en hurla de plaisir et ne put retenir l’orgasme et l’éjaculation qui l’accompagnait. Totalement pris par ...
... surprise, il en fut secoué, surtout par le fait qu’il n’avait pas pu prévenir Irène. Lorsque, quelques minutes plus tard, il fut à nouveau en mesure de parler, il s’excusa.
— Ne vous inquiétez pas, je connais la réaction des hommes à cette caresse et je m’y attendais.
Antoine en fut rassuré. Il hocha la tête. Elle lui lança un clin d’œil puis s’exclama :
— Bien, maintenant, je suis fatiguée et vous semblez l’être également. Rentrez chez vous et reposez-vous bien.
— Merci, vous aussi, Irène.
Ils se quittèrent ainsi, après que Antoine ait remis ces vêtements qui avaient tant semblé déplaire à Irène. Antoine se coucha dès qu’il fut rentré. Il était exténué. Les questions furent remises au lendemain.
— Elle était sérieuse en disant que j’étais mal habillé ? s’exclama Antoine au petit déjeuner. Ou alors a-t-elle dit ça pour se donner une raison de me demander de me dévêtir ?
— Elle était sérieuse, dit l’inconnue.
— Quoi ? s’écria Antoine en manquant de s’étrangler, car il avait un morceau de biscotte dans la bouche.
Il avala avant de continuer :
— Je m’étais changé et lavé. Que lui fallait-il de plus ?
— Il ne suffit pas d’être propre pour être beau…
— Ok, d’accord, ils ont quoi, mes vêtements ?
— Hé bien, il n’y a pas que le pull de la grand-mère. Tu sais, le jean déchiré et à moitié délavé, ça marche pour attraper les ados de quatorze ans. Si tu veux une femme, choisis plutôt un pantalon de ville. Par conséquent, il faut des chaussures de cuir, car avec des ...