1. La maison aux volets rouges (1)


    Datte: 02/12/2020, Catégories: Hétéro Auteur: veniel31, Source: Xstory

    ... violemment !
    
    — Tu ne me touches pas !
    
    Surpris, mais effrayé par la possibilité que tout s’arrête, j’ai obéi.
    
    Elle alla s’asseoir sur son lit et m’indiqua d’approcher. Je me plaçais juste devant elle, popol toujours au garde-à-vous. Elle saisit mon dard et le plaça entre ses deux énormes seins. Elle commença à les malaxer tout en donnant en même temps des coups de langue sur mon gland turgescent. La sensation était extraordinaire !
    
    Puis, libérant à mon grand regret ma bite de cet écrin, elle la prit dans sa bouche tout en me branlant et en caressant mes boules.
    
    Je n’en pouvais déjà plus et je sentais le plaisir arriver lorsque, sentant ma jouissance proche, elle serra violemment mon sexe !
    
    — Je t’interdis de jouir ! Cria-t-elle
    
    Son geste brutal m’avait permis de reprendre le contrôle. Elle se redressa et me poussa sur le lit. Elle se positionna au-dessus de moi, prit mon sexe et l’enfonça d’un seul coup dans son vagin trempé en poussant un petit cri. Elle commença alors un lent va-et-vient en ondulant du bassin.
    
    Sa chatte était très étroite et j’avais vraiment du mal à ne pas jouir. Je voyais ses seins tressauter et j’avais une envie folle de les prendre dans mes mains et de les caresser. J’aurais voulu pouvoir suçoter ses tétons turgescents, les titiller avec ma langue, mais je restais aussi immobile que possible.
    
    Elle accéléra le mouvement et gémit de plus en plus fort. De mon côté, je pensais à un tas de trucs pour me contrôler, mais putain ...
    ... c’était pas facile. Elle accéléra encore son mouvement tout en pétrissant ses magnifiques obus et je remarquai que le plaisir montait en elle. En effet au bout de quelques instants elle cria :
    
    — Oui, oh oui, oh oui, encore, encore, je viens, je viens, ah vas-y, jouis !
    
    Je n’attendais que ça depuis qu’elle me chevauchait et je lâchais ma semence pendant qu’elle criait de plaisir et s’écroulait sur moi. Quel plaisir de sentir ses seins sur mon torse. Malheureusement, son moment de lâcher prise ne dura vraiment pas longtemps. Elle se releva rapidement et me dit :
    
    — Allez, rhabille-toi et casse-toi vite !
    
    — Puis-je me laver un peu, répondis-je.
    
    — Non, non, va-t’en, pars, je ne veux plus te voir !
    
    Je mis mes vêtements en quatrième vitesse et pris la porte. Me retournant, je l’aperçus en train de fermer ses volets.
    
    Je suis rapidement rentré chez moi et ai mis du temps à me remettre de cette aventure peu commune. Qui était-elle ? Pourquoi m’avait-elle choisi ? Était-elle mariée ? Ces interrogations me hantèrent tant que je me suis décidé, ce matin, de retourner la voir. J’ai trouvé à nouveau volets et porte clos mais je suis revenu tout de même cet après-midi.
    
    Tout était ouvert, et je me suis précipité à la porte. Au bout de trois coups de sonnette la porte s’est ouverte. Une dame âgée d’au moins quatre-vingts ans se tenait devant moi.
    
    — Bonjour Monsieur. Que puis-je pour vous ? M’a-t-elle demandé.
    
    — Heu... Excusez-moi Madame, je cherche une jeune femme que ...