1. La maison aux volets rouges (1)


    Datte: 02/12/2020, Catégories: Hétéro Auteur: veniel31, Source: Xstory

    J’ai, depuis que j’ai emménagé dans ma nouvelle maison il y a six mois, pris l’habitude de marcher une heure tous les matins.
    
    J’arpente ainsi les rues de mon village du sud toulousain, et j’ai le temps de laisser mon imagination vagabonder. Par exemple, je passe fréquemment devant une petite maison dont les volets, d’une couleur rouge vif, restent constamment fermés. Je me demande, à chaque fois, qui peut bien vivre à l’intérieur de ces murs, tout du moins jusqu’à hier !
    
    Il faisait encore nuit lors de mon départ quotidien et suivant l’un de mes cheminements favoris, j’arrivais en vue de la petite maison. Quelle ne fut pas ma surprise d’apercevoir de la lumière à l’une des fenêtres. D’un naturel curieux, et peut-être également un peu voyeur, je m’approchais doucement et restais sidéré devant un spectacle d’un érotisme torride !
    
    Dans la pièce, une jeune femme, entièrement nue, peignait ses longs cheveux noirs. Je prenais soin de bien rester dans l’ombre afin de l’observer sans prendre le risque d’être découvert.
    
    Elle avait un corps splendide, aux formes pleines et généreuses, une véritable incarnation de Vénus ! Elle devait être âgée d’environ 25 ou 30 ans. Ses seins, imposants et en forme d’obus, se dressaient fièrement et je pouvais distinguer ses aréoles rose pâle et ses tétons agressifs.
    
    Ses longs cheveux, couleur corbeau, descendaient jusqu’au bas de ses reins et venaient effleurer de magnifiques fesses, légèrement potelées, mais qui paraissaient tout de ...
    ... même bien musclées !Cette femme était faite pour l’amour, j’en étais sûr, et ma verge, bien tendue et compressée dans mon pantalon de jogging me le confirmais ! J’enviais le ou les hommes de sa vie !
    
    Soudainement, elle se retourna, et me fixa intensément ! J’aurais dû m’enfuir, courir, détaler, mais je suis resté tétanisé, incapable de détacher mon regard de ses grands yeux noisette.
    
    Comment avait-elle pu savoir que je la matais, c’était impossible. Honteux et confus, comme un ado pris en train de se masturber, je tentais piteusement quelques gestes malhabiles afin de m’excuser.
    
    Mais à ma grande surprise, elle s’approcha de la fenêtre et m’indiqua de venir vers sa porte d’entrée ! Abasourdi, me demandant s’il était sage de venir lui parler, je la vis sur le seuil et, tout penaud, vint vers elle.
    
    — Entre, me dit-elle.
    
    — Écoutez, Mademoiselle... commençais-je.
    
    — Tais-toi et entre !
    
    Elle me précéda dans son couloir et je la suivis jusque dans sa chambre.
    
    — Mets-toi à poil tout de suite, m’ordonna-t-elle !
    
    Je m’exécutais sans la lâcher des yeux. Je pouvais à présent détailler son magnifique visage. Regard de braise, pommettes hautes, petit nez et lèvres parfaitement ourlées. Sa peau était très pâle pour une brune. Ses seins me paraissaient encore plus magnifiques qu’auparavant et un ticket de métro noir venait coiffer son petit minou bien appétissant.
    
    Une fois nu, avec mon sexe bien dressé, je m’approchais d’elle pour l’enlacer lorsqu’elle me repoussa ...
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