0213 Une soirée très riche en émotions (partie 2).
Datte: 02/12/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... Après il a commencé à me dire que je montais super bien à cheval, que j’étais bomec, qu’il kiffait les mecs comme moi, musclés et sportifs. Et puis, rebelote, il a recommencé à me saouler avec des questions sur ma vie sexuelle. Il m’a dit que s’il avait eu un camarade de lycée comme moi, il se serait débrouillé pour coucher avec avant le bac. Je crevais d’envie de lui dire que c’est exactement ce qu’on avait fait toi et moi, mais je me suis dit que ça ne le regardait pas ».
« Bref, il t’a vraiment dragué… ».
« Oui ».
« Et ça t’a fait quoi ? ».
« Rien du tout, en plus je ne le kiffe pas du tout. Il a une tête de mec chiant, une voix de mec chiant, une dégaine de mec chiant. Bref, c’est un mec chiant ».
« Et si ça avait été un bogoss qui t’avait fait du rentre dedans ? ».
« Nico, t’as pas à t’inquiéter, c’est de toi que j’ai envie. J’avais tellement envie de toi ce soir… ».
« Ah bon ? ».
« Pas toi ? ».
« Non… moi j’avais juste envie de câlins… » je le balade.
« Ah bon… juste de câlins… ».
« Parfaitement ».
« Je ne te crois pas ! » fait-il, avec un petit rire coquin à craquer, un regard de petit voyou sexy en diable.
« C’est ça… ».
« Alors, comme ça, pendant la soirée tu avais juste envie de bisous… » il me relance, après un instant de silence.
« Oui… et quoi d’autre ? T’avais envie de quoi, toi ? » je le cherche.
« Moi j’avais envie de t’allonger sur la grande table en bois et de te prendre direct ! ».
« T’avais envie de me ...
... remplir ? ».
« Tu peux pas savoir ! ».
« Comme la fois sur le banc de massage au terrain de rugby ? ».
« Ah, putain, qu’est-ce que c’était bon ce soir-là ! ».
« C’est toujours bon avec toi, Jérém ».
« C’est clair, c’est toujours bon quand on le fait tous les deux ».
« Moi aussi ce soir j’avais envie de toi » je finis par admettre « j’avais envie de toi depuis ce matin. T’es tellement sexy à cheval ! ».
« Il paraît, oui » fait-il, le regard impertinent et l’air satisfait de sa bogossitude, comme une évidence.
« Petit con, va ! ».
« C’est vrai, les filles m’ont toujours dit ça » fait-il, l’air innocent. Il est à craquer !
« Elles sont folles » je commente.
« C’est bien vrai, mais elles sont marrantes ».
« Jérém, tu me rends dingue ».
« Toi aussi ».
« A midi, c’était trop bon dans les bois, c’était trop excitant, j’ai joui comme un fou ! ».
Jérém ne dit rien mais je le sens fier que je lui dise ça. Je le sens bien excité, en plus que pas mal éméché. Je sens que le retour à la petite maison va être chaud.
Mais en passant la porte d’entrée, la première chose que je constate, avec dépit, c’est que depuis notre départ de la maison au matin, le feu dans la cheminée est mort.
Et pourtant, je ne me suis pas trompé, la chaleur ne va pas manquer. Dès le seuil franchi, Jérém me plaque contre le mur, il m’embrasse fougueusement, nos langues se mélangent, nos corps s’enlacent, se caressent, s’excitent. Son envie de me faire des câlins à la ...