1. Tala


    Datte: 30/11/2020, Catégories: fh, couleurs, amour, Oral pénétratio, sf, fantastiq, amourpass, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... point ?
    
    Si vous saviez à quel point je rêve parfois d’un simple hamburger avec des frites, Anthony, vous ne pouvez pas savoir ! Je ferais n’importe quoi, ou presque, pour en manger, ne fût-ce qu’un par mois !
    
    --ooOoo--
    
    C’est le hasard qui m’a fait rencontrer Lanu, comme c’est aussi le hasard qui m’a fait débarquer sur sa planète suite à un tirage au sort dans mon entreprise. On avait fait ça à l’ancienne, avec des bouts de papier, j’ai plongé ma main dans le sac et j’ai décroché Tala. J’ai fait une tronche pas possible quand j’ai découvert où je devais m’exiler pour cinq ans, et personne n’a accepté de prendre ma place, même avec un bonus en supplément !
    
    J’ai quand même eu de la chance au final car, à peine arrivé de quelques jours, j’ai été faire une reconnaissance dans l’archipel voisin sur mon aéroflotteur et c’est au détour d’une faille qui zèbre la montagne que je suis tombé nez à nez avec elle.
    
    Nez à nez, c’est vite dit ! Les Talayens n’ont pas précisément un appendice nasal très prononcé, je dirais qu’ils ont un nez droit, mais pas plus épais que mon petit doigt. Ce qui par contraste leur donne de grands yeux. Et je suis resté totalement fasciné par le regard vert de ma Lanu.
    
    Pour être plus franc, il n’y a pas que ses yeux qui m’ont… euh… fasciné… Et d’ailleurs, dans mon pantalon s’est manifesté quelque chose que je croyais bien parti pour être en hibernation pour de longs mois ! Car les Talayens, et les Talayennes, ne sont pas particulièrement ...
    ... vêtus ! Ce qui s’explique fort bien par le climat ambiant.
    
    Ce jour-là, comme souvent quand elle se balade dans la montagne, Lanu est tout simplement nue, mis à part ses pieds chaussés et une ceinture de laquelle pendent divers objets indéfinissables. Sans parler de sa longue et sombre chevelure ornée. Les gens d’ici, technologiquement, ne sont pas aussi avancés que nous, d’ailleurs ils se contrefichent allègrement des machines, et encore plus des ordinateurs. Mais côté botanique, biologie et sciences humaines – pardon : sciences talayennes - ils ont des siècles d’avance. Mais une fois de plus, ce n’est pas exploitable d’un point de vue purement capitaliste.
    
    — Soyo ! me dit-elle avec un large sourire ravageur à faire fondre les rochers.
    — Euh… ah… hem… Soyo masu…
    
    J’ai devant moi une splendide créature nue et filiforme toute dorée, aux membres fins, aux gestes gracieux et à la voix toute douce. Dotée de surcroît d’une poitrine assez avantageuse (proportionnellement parlant) qui fait d’ailleurs un peu tache par rapport à l’ensemble harmonieux de sa belle plastique ! Quand j’y songe, je crois que j’ai été… ému, attendri par ce "défaut". Par rapport aux filles et femmes que j’ai connues, Lanu n’a pas grand-chose, mais, là où on s’attend à des mandarines dans le meilleur des cas, j’ai droit à des petits melons lourds et pulpeux…
    
    Non, non et non, ce n’est pas que pour ça que je suis tombé sous le charme. Certains s’entichent d’un sourire ou d’une fossette. Moi, ce fut d’un ...
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