1. Tala


    Datte: 30/11/2020, Catégories: fh, couleurs, amour, Oral pénétratio, sf, fantastiq, amourpass, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... tel qu’elle a failli m’assommer !
    
    En sueur, Lanu est pantelante, les bras en croix. Je m’agenouille entre ses jambes, je pose mes mains de part et d’autre de sa tête et de sa longue chevelure défaite. Je l’embrasse délicatement, elle répond à mon baiser, ses mains sur ma poitrine. C’est alors que je m’introduis sans effort en elle. Un bref cri de surprise, elle écarquille les yeux. Ses ongles rentrent dans ma chair. Je la regarde intensément, j’entre doucement en elle, je plonge lentement dans ses chairs, dans son humidité serrée, dans une grotte inconnue.
    
    Je constate que ce n’est pas évident de progresser en elle ; je décide de me retirer un petit peu afin de mieux me positionner. Soudain, elle lance son bassin vers le ciel et enserre mes reins de ses longues jambes comme pour m’empêcher de partir. Je l’embrasse éperdument, sa langue cherche la mienne, ses ongles glissent de ma poitrine pour aller se planter dans mon dos. J’entame un lent mouvement de va-et-vient, elle ronronne, ses jambes comme un étau autour de moi. Elle s’agite, se contorsionne pour mieux m’absorber. Mon pieu entre toujours en elle, par soubresauts, contraint, forcé, emprisonné. Elle mord ma langue, je réagis en lui donnant un violent coup de rein. Elle jubile, mille morsures sur mes lèvres, mon nez. Je force, l’obligeant à m’accepter plus loin. Une dernière morsure, un dernier coup plus profond, plus violent et ma tige est complètement en elle.
    
    C’est alors que je la pistonne, entrant, sortant, ...
    ... insensible à l’étroit tunnel, plongeant au plus lointain, dévastateur ! Elle gémit, elle ondule, les yeux révulsés, la bouche ouverte, ses ongles dans ma chair. Une onde brûlante s’empare de moi, mon cerveau se vide, mon corps devient douloureux. J’accélère plus encore, sans répit, toujours plus destructeur. Un cri rauque sous moi, un jet chaud sur ma barre de chair qui plonge alors encore et encore plus loin, trop loin. Une ultime crispation, je jouis intensément en elle, absolument.
    
    --ooOoo--
    
    C’est par la suite toute une série de découvertes, aussi bien pour elle que pour moi. Elle veut tout savoir, je veux tout expérimenter. Dehors, le cyclone fait rage, le vent hurle. La nuit est démente, torride, infernale et le petit jour nous trouve complètement vidés, nos dernières forces envolées au-delà du septième ciel.
    
    Puis le petit jour revient, tout est si calme à présent, je le constate, debout à l’entrée de la grotte, tandis que ma Lanu dort encore. Tout autour, que la mer, tranquille, apaisée, scintillante sous un soleil levant. Plus bas, je constate que certains rochers ont été brisés, divers arbustes ont été déracinés…
    
    Je retourne dans la grotte afin de contempler celle que j’aime dormir. Elle est à elle seule un fabuleux spectacle. Je me sens si fort, si puissant, comme régénéré.
    
    Quelques temps après, elle s’éveille. Je ne lui laisse pas trop de temps pour réaliser complètement, je l’embrasse passionnément. Elle répond sans retenue à mes baisers fiévreux. ...
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