Tala
Datte: 30/11/2020,
Catégories:
fh,
couleurs,
amour,
Oral
pénétratio,
sf,
fantastiq,
amourpass,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... Tu… tu fais quoi, là ? Dis ?
Mais je ne réponds pas. Avec délicatesse, je masse sa poitrine, je palpe ses chairs si tendres, c’est divin comme son sein épouse ma main ! C’est voluptueux à souhait ! Puis mes doigts avides emprisonnent une petite pointe déjà dure et jouent avec, délicatement, doucement, puis de plus en plus voracement. Sa mignonne poitrine se soulève au rythme de sa respiration qui s’entrecoupe, qui se syncope…
— Tu… tu me… a-arrête…
Je n’ai certainement pas envie d’arrêter ! Ma bouche qui, de son cou, remonte sur sa douce joue que j’embrasse passionnément, puis j’arrive à la commissure de ses lèvres entrouvertes. Je dépose d’abord de légers baisers, je m’enhardis de plus en plus, ma langue jouant sensuellement avec l’orée de sa bouche ourlée. J’adore son souffle court et chaud sur moi, ce sein que je possède, ses lèvres si suaves. Je n’y tiens plus, je l’embrasse de toute ma passion, de ma tendresse, de ma folie. Abandonnée, elle répond à mon baiser.
C’est au bout de longues minutes que nos lèvres se séparent, elle est haletante, comme si elle avait longtemps couru. Je n’en vaux guère mieux, mais je suis profondément heureux. Elle me regarde de ses grands yeux verts :
— Tu m’as fait quoi là !? C’est quoi, cette chose !?
— Le désir… C’est ce qu’on éprouve quand on tient énormément à quelqu’un.
— Je tiens à beaucoup de personnes, mais c’est… la première fois que je ressens ce… cet effet ! J’ai lu beaucoup… beaucoup de choses, mais rien de pareil ...
... !
— On n’apprend pas tout dans les livres. Sur Terre, nous pensons que, idéalement, chaque femme correspond à un homme, et vice-versa. Qu’ils sont comme complémentaire, liés l’un à l’autre par un fil rouge…
— Un fil rouge ?
— C’est une image. Je tiens beaucoup à toi, même de trop… Et, tu vois, je…
Elle me coupe la parole :
— Recommence !
— Quoi ? Ma phrase ?
— Non, ce que tu m’as fait juste avant !
Je m’exécute avec joie !
Je recommence de plus belle, en plus fiévreux, en plus passionné. Je me lâche totalement à la désirer, l’embrasser, la lécher, la mordiller. Elle apprend vite, reproduisant sur moi ce que je lui fais subir. Si, au début, elle est un peu maladroite, elle se perfectionne très vite !
C’est à présent tout son magnifique corps doré que je couvre de baisers, de caresses, de frôlements, de câlineries, sans oublier la moindre parcelle de ses bras, de ses jambes, de sa poitrine, de son visage. Visiblement, elle adore, elle se laisse faire telle une chatte avide de tendresse, m’aidant même en positionnant au mieux sa divine anatomie. Je dévore ses seins, je les câline, mordillant ses tétons dressés. Je niche mon nez dans sa poitrine, respirant ses parfums, je descends sur son ventre si mignon, tout en la griffant délicatement des aisselles aux hanches. Elle frémit, se cabre.
— Encore…
est un mot qu’elle dira encore très souvent. Et je ne désire pas la décevoir à ce sujet. J’ose aller encore plus bas, vers un petit mont glabre, un petit mont ...