1. Le géniteur


    Datte: 30/11/2020, Catégories: ff, ffh, copains, vacances, Oral 69, préservati, pénétratio, fsodo, confession, fbi, Auteur: Armélic, Source: Revebebe

    ... son accord. Ce que je fais à la danse suivante et je suis surpris de la rapidité avec laquelle elle accepte.
    
    Tout naturellement, de retour à la villa, Sandrine me suit alors que Ray est entraîné par Alice. Il est quatre heures du matin, aussi nous nous couchons rapidement. J’ai l’impression que je viens à peine de m’endormir quand Sandrine me réveille et me fait écouter les bruits qui proviennent de la pièce d’à-côté. On dirait des cris de douleur. Nous nous levons, et comme leur porte est restée entrouverte, on peut voir ce qui se passe dans la chambre. Alice est agenouillée sur le lit, la tête sur un coussin, pendant que Ray la pistonne. Sandrine entre et se dirige vers son amie, inquiète de ses cris.
    
    — Ça ne va pas, il te fait mal ?
    — Elle répond dans un souffle : non, au contraire, il me fait du bien. Il est très gros et je suis remplie, mais c’est bon, il me fait jouir.
    
    De mon côté, je me dirige vers Ray et je l’interroge du regard. Il me répond, en levant le pouce. D’ailleurs ce pouce, il le replonge dans l’anus qu’il occupait. Tout va bien, ces cris sont bien des cris de plaisir. Nous sommes rassurés mais nous ne partons pas pour autant. Nous regardons le sexe pilonner le vagin. Il est bien comme sa taille au repos le faisait imaginer, gros et long. Surtout, ce sexe recouvert de latex tranche par sa couleur comparé aux fesses blanches de la femme.
    
    Il y a un côté exotique et presque animal. « Il faut se souvenir qu’à l’époque, internet n’existait pas et ...
    ... que les revues érotiques ne montraient pas de noirs en action. L’imagination était reine ». Son propriétaire ne cherche pas à le pousser trop profond car il se sait trop grand, mais au contraire, il joue à entrer et sortir, frottant son gland sur le clitoris avant de replonger. Les petites lèvres méritent bien leur nom car elles donnent l’impression d’envelopper le gland comme une bouche peut le faire. Alice continue de pousser des cris, de gémir de pousser ses fesses au-devant du mandrin qui la possède.
    
    Mais je vois Sandrine s’approcher au point de prendre le sexe entre ses doigts et le diriger vers l’anus de son amie. Ray l’interroge du regard, mais elle confirme son intention. Alors il laisse tomber de la salive sur l’œillet et se laisse guider par la main. Alice comprend ce qui se prépare et proteste.
    
    — Non, pas par là, il est trop gros.
    
    C’est Sandrine qui lui répond :
    
    — Chérie, il faut assumer. C’est toi qui l’as invité. Tu savais à quoi t’en tenir sur sa taille. Tu m’as même dit, que pendant les slows, tu sentais un monstre tapi dans son pantalon.
    
    Le ton qu’elle utilise ne laisse pas de place à la discussion. Manifestement elle est contrariée que son amie ait fait venir un homme, même si elle lui avait donné son accord. Alice ne réplique pas et, comme pour donner son assentiment, place ses mains sur chaque fesse en les écartant le plus possible. Je trouve cette scène d’un érotisme torride. Voir cette femme, à genoux, en appui sur la tête, les reins cambrés ...