1. Le géniteur


    Datte: 30/11/2020, Catégories: ff, ffh, copains, vacances, Oral 69, préservati, pénétratio, fsodo, confession, fbi, Auteur: Armélic, Source: Revebebe

    Ce soir j’ai le bourdon. Pourtant la journée s’est très bien passée, nous avons fêté notre anniversaire de mariage en compagnie de quelques amis et bien sûr, avec la famille. Mais il s’est passé un événement qui m’a fait revenir de nombreuses années en arrière.
    
    Mon fils a profité de l’occasion pour nous présenter l’amie avec qui il vit depuis quelques mois. C’est à la vue de cette jeune femme que j’ai eu un choc, car elle ressemble de façon très troublante à une personne que j’ai bien connue dans ma jeunesse. La pauvre a dû se demander pourquoi je l’ai soumise à un interrogatoire sur ses origines et sa famille. Mais ses réponses m’ont complètement rassuré. Pour comprendre mon inquiétude, il faut remonter le temps.
    
    J’ai vingt-cinq ans et je suis en route pour Montpellier afin de me présenter à l’embauche dans une grosse société d’informatique. C’est mon premier emploi ; je quitte la région où je suis né et ai fait mes études. C’est un changement radical dans ma vie de jeune homme. J’ai quitté ma famille et mes amis et, même si je ne vais pas au bout du monde, ce n’est pas la porte à côté. Les adieux les plus marquants ont été ceux de ma maîtresse de l’époque. Oh, je ne suis pas dupe ! ce n’est pas l’homme qu’elle pleure, mais plutôt l’amant. J’ai des défauts, comme beaucoup, mais celles qui me connaissent font l’éloge de mon savoir-faire en amour.
    
    Pourtant j’avais mal commencé. Adolescent, ma sexualité se résumait à « l’étude » du magazine érotique de l’époque, qui ...
    ... d’ailleurs, montrait des femmes nues avec le sexe « flouté ». Mais tout a changé l’année de mes dix-neuf ans.
    
    Comme chaque été, je passe une bonne partie de mes vacances dans une ferme où je participe aux travaux agricoles. Cette année-là, la fille des fermiers, institutrice à Lille, revient passer un mois avec ses parents. Elle doit avoir un peu plus de vingt-deux ans, une vraie femme pour moi, d’autant plus qu’elle est bien faite.
    
    À l’époque, les salles de bain n’existaient pas et comme l’été était particulièrement chaud, le fermier avait bricolé une douche dans une grange. Bien entendu, je ne rate pas une seule fois où Alice l’utilise. Il m’est facile de la voir nue par un interstice et je me branle devant ce spectacle. Une fois, elle s’est caressé la poitrine et le sexe en gémissant. J’étais au premier rang mais sa touffe de poils blonds me dissimulait son intimité. Et oui, la mode de l’épilation du sexe n’était pas encore arrivée.
    
    Un jour, au moment où tout le monde part pour se coucher, elle me dit à l’oreille :
    
    — Retrouve-moi dans la grange à dix heures.
    
    À l’heure dite, je sors de ma chambre par la fenêtre, parcours les cent mètres qui me séparent de la grange et m’installe pour l’attendre. Elle arrive quelques minutes après. Tout de suite elle me dit :
    
    — Alors, tu me regardes sous la douche ? Tu crois que je ne te vois pas ? Tu pourrais au moins nettoyer le sol de ce que tu craches. Ce n’est pas difficile de reconnaître que c’est du sperme et mes ...
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