1. Promotion canapé... et petits-fours


    Datte: 29/11/2020, Catégories: hh, fhhh, fbi, hagé, couplus, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Oral hsodo, échange, Partouze / Groupe confession, Gay Transexuels Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... et recule dans un océan humide. En plus, ses oreilles sont couvertes par des mains puissantes qui maintiennent sa tête. Pourrait-il s’échapper de ce tourment ? Oui, bien sûr, il pourrait se lever et s’enfuir. Mais il ne le veut pas.
    
    Il sursaute lorsque Patricia se saisit de sa queue pour se la glisser dans la gorge. Que peut-il bien penser ? Est-ce qu’il se pose la question de savoir qui le suce ? La femme du patron ? La sienne ? Peut-il imaginer que, dans sa grande perversité, le couple s’est arrangé pour que moi je puisse assister à tout ce qui se passe dans cette chambre ?
    
    Mais la présence de Patricia a donné des ailes au mari baiseur de gorge. Nul doute que son plaisir soit imminent à la façon dont il accélère ses mouvements. Je sais combien – pour l’avoir vécu – c’est difficile mais bon, ce moment où la folie s’empare du baiseur. Entièrement guidé par la montée de la jouissance, il pousse si fort qu’on prie pour qu’il crache son jus.
    
    Paul regarde son amie alors qu’il balance sa purée. Il a heureusement reculé afin que seul le gland reste entre les lèvres. J’imagine le sperme chaud, gluant, odorant jaillir pour se projeter plus loin, certainement stoppé par une langue qui se charge de le guider.
    
    J’ai honte, mais le spectacle m’excite. Depuis un moment, en vérité depuis l’arrivée de Patricia dans la chambre, je me caresse. Voir cet homme juter dans la bouche d’Antoine me perturbe. Découvrir le visage de mon mari, maintenant libéré du mandrin, souillé par la ...
    ... salive, les larmes et maintenant le foutre que les lèvres laissent suinter, est un plaisir coupable.
    
    Antoine peut maintenant voir qui le suce avec tant de vigueur. Il doit découvrir la splendide poitrine de Patricia. Un moment il regarde, mais il lui faut pour ça soulever la tête et, comme rassuré, il se laisse aller de nouveau en arrière. Maintenant la femme le branle, titillant de sa langue l’anus de mon homme.
    
    C’est beau. Quel dommage que je n’aie pas le son ! Ma main abandonne mon sein pour descendre. Elle glisse sous ma culotte et découvre une fente humide. Je suis une garce, incapable de me retenir. J’étais venue ici pleine d’espoir afin de briser une routine de couple, et me voici simple salope spectatrice, obligée de me caresser pour me satisfaire. Promotion canapé ? Mon cul !
    
    Là-bas, Patricia enlève sa jupe d’une chiquenaude. La culotte suit. Elle me tourne le dos. Elle a un beau cul. Le reste doit être à l’avenant. Je l’imagine déjà, montant sur le lit, enjambant mon mari et chevaucher un mandrin qui n’attend plus qu’elle. Mais… mais… Merde ! Une queue ! C’est une queue bien raide, un étendard de virilité ! Oui, la belle Patricia est un homme ! Enfin, elle en a les attributs. De profil, la vision est étrange. Visage fin, longue chevelure. Poitrine magnifique bien qu’artificielle, mais ô combien désirable. Ventre plat, et dessous, ce bâton viril !
    
    Un bâton qu’elle… un bâton qu’il… Merde, je ne sais que penser ! En tout cas, ce bâton, c’est vers le cul de mon ...
«12...4567»