1. Promotion canapé... et petits-fours


    Datte: 29/11/2020, Catégories: hh, fhhh, fbi, hagé, couplus, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Oral hsodo, échange, Partouze / Groupe confession, Gay Transexuels Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... manifestement pas pour Patricia car elle sourit de mon étonnement.
    
    — Je vous avais dit qu’Antoine plaisait à Paul.
    
    Paul est nu et aide mon mari à finir de se déshabiller. Ils se font face. Les deux verges pendent, alanguies. Pourquoi ne suis-je pas étonnée alors que mon mari se penche, s’agenouille et entreprend de sucer son patron ? J’en ai la preuve sous les yeux : la proie, c’est lui, pas moi. Mais je me demande si ce n’est que cela. La façon dont Paul regarde dans notre direction ! Sa façon de sourire dans le vide. On dirait que… Non, c’est certain : il sait qu’on le regarde, sinon pourquoi lever le pouce dans la direction de la caméra qui nous transmet la scène ? Quelle perversité ! Profiter d’un mari alors que sa femme regarde… J’imagine qu’Antoine n’en sait rien.
    
    Antoine qui s’active. Antoine que j’ai déjà vu simuler une fellation sur notre gode mais qui, ici, embouche un mandrin de chair. Un mandrin tendu. Car mon mari a transformé le sexe languissant en queue dressée. Queue que je ne peux m’empêcher d’admirer. Fine, longue, élégante, le gland maintenant totalement découvert. Il s’active, mon Antoine. Le bâton brille de salive, les couilles sont caressées par des paumes. Paul est plus centré sur son plaisir : plus de regards vers nous, mais une tête penchée vers sa bite et son suceur, guettant sans doute comme n’importe quel homme le regard de celle ou celui qui le suce.
    
    — Il suce bien, votre mari…
    
    Patricia me réveille de ma contemplation. Que dire ...
    ... ?
    
    — Oui.
    — J’adore voir les hommes entre eux. Pas vous ? Ça m’excite.
    
    Je ne réponds pas, mais vois bien qu’a côté de moi Patricia dégrafe son corsage pour laisser apparaître deux lobes magnifiques. Elle ne porte pas de soutien-gorge, et lorsqu’elle retire le corsage, les deux seins ne bougent pas d’un cil. Ce sont de faux seins, c’est évident : aucune femme n’a une poitrine si forte et ferme à la fois. Elle s’est fait refaire les nichons.
    
    — Vous devriez vous mettre à l’aise aussi.
    
    Dans ma tête résonne le "Une sorte de conseillère extérieure", chargé de sous-entendus du genre "Moi aussi j’ai mon mot à dire sur la promotion de votre mari. "
    
    Surtout ne pas détruire le "sacrifice" d’Antoine par une réaction maladroite. Je m’exécute. Pour enlever la robe, je dois me lever. Sous les yeux de cette femme, je joue le jeu. La robe, je ne la fais pas tomber d’un geste. Non, je le fais comme si c’était un homme qui me regardait.
    
    — Vous êtes très belle ; encore plus que sur les photos. Cet ensemble vous va à ravir. Antoine a de la chance ! Venez.
    
    Elle me montre la place à côté d’elle. Le cuir du canapé est froid. Qu’attend-elle de moi ?
    
    — Regardez comme c’est beau…
    
    J’avais quitté l’écran des yeux, et dans la chambre ils ont bougé. Antoine est en train de s’allonger sur le lit, guidé par son patron. La première chose que je remarque, c’est qu’il bande. Oui, mon mari est en érection. Cela me saute aux yeux, comme une évidence. Sucer une bite d’homme bien chaude le ...
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