1. Châteaux en Espagne.


    Datte: 29/11/2020, Catégories: fh, hplusag, fplusag, vacances, piscine, hotel, hsoumis, Oral pénétratio, hgode, hsodo, confession, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... elle le fait. Pendant de longues minutes, l’homme n’est plus qu’un trou qu’elle possède. Si au début, elle lui parlait encore, le traitant de tous les qualificatifs, maintenant je vois bien qu’elle aussi ressent du plaisir. Nul doute que le gode qui est en elle ne lui apporte des sensations délicieuses. Un long moment ils ne sont plus qu’un, relié par cette cheville synthétique qui est plus qu’un objet, mais aussi un lien qui les unis dans le plaisir. Ils ont les yeux fermés. Chaque coup déséquilibre Monsieur avant que les mains qui agrippent ses hanches le retiennent vers elle.
    
    Les gémissements de Georges se transforment en une longue plainte qui accompagne sa jouissance. Une jouissance qui me semble sans fin. Il bande toujours autant, mais ne crache pas son foutre.
    
    C’est après, alors que les deux amants ont eu leur plaisir que Madame toujours équipée va terminer Monsieur en le suçant. Oh une fellation de quelques secondes. Une fellation dont elle garde le fruit pour aller le faire couler dans la bouche de Georges.
    
    Ils ont terminé. Monsieur a longuement remercié Madame. Elle l’a détaché. Elle s’est déséquipée. J’attends qu’ils partent, car si je passe par la maison je vais les croiser. Lui part devant, la laisse toujours au cou. Elle s’attarde le temps de refermer la mallette. Un dernier coup d’œil et là, je la vois faire deux pas de côté et regarder dans ma direction. Elle me voit. Elle m’a vue. Depuis quand ?
    
    Le doigt sur les lèvres en signe de silence me ...
    ... donne la réponse. Elle sait que j’étais là. Mais lui certainement pas. Que faire, sinon montrer que je serai une tombe en répondant par le même geste ! J’ai honte. Pas honte d’avoir regardé, mais de m’être fait prendre. Ils voulaient garder ces pratiques secrètes. Avec leur exhibitionnisme évident, ce doit être une sorte de pudeur de l’homme. Un homme que j’ai compris chef d’entreprise et dominateur dans le quotidien. Mais un homme que sa maîtresse enfile comme une femme…
    
    Le lendemain, le sourire de Béa me rassure. Manifestement elle n’en a pas parlé à son amant. Pourtant la journée se déroule étrangement. D’habitude, si je les surprenais, ce n’était manifestement pas calculé par eux. C’était comme si je n’existais pas, ou si peu. Mais aujourd’hui, je surprends plus d’une fois le regard du couple sur moi. C’est comme s’ils me découvraient vraiment.
    
    Après le déjeuner, le mari m’appelle.
    
    — Marc, je voudrais vous remercier de votre service. Vous êtes à la fois prévenant et discret. Je sais combien notre comportement peut être « limite », mais vous vous êtes parfaitement adapté. Bien entendu, tout ce que vous voyez ici est confidentiel. Je saurai vous remercier.
    — Merci.
    — Je sais aussi combien, pour un jeune homme comme vous en pleine possession de ses moyens, cela peut être dérangeant. Mais j’imagine que vous avez trouvé en ville ce qu’il faut pour vous « décontracter ».
    — Tout à fait.
    — J’imagine qu’un beau garçon comme vous, blond de surcroît doit avoir des ...
«12...567...17»