1. Châteaux en Espagne.


    Datte: 29/11/2020, Catégories: fh, hplusag, fplusag, vacances, piscine, hotel, hsoumis, Oral pénétratio, hgode, hsodo, confession, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... crier au grand jour. Tu sais bien que je ne peux pas. Elle est propriétaire de la moitié de l’entreprise. Et je te rappelle que nous étions bien d’accord.
    
    Béa se fait plus douce et se cale contre lui.
    
    — Alors on ne passera pas notre anniversaire de rencontre ensemble. J’avais prévu un très beau cadeau.
    — Mais si. Je peux m’arranger en parlant de travaux qui doivent se terminer. Qu’est-ce que tu as prévu comme cadeau ?
    — C’est un secret. Je peux juste te dire qu’il est exceptionnel et que tu ne l’oublieras jamais.
    — Béa chérie, dis-moi…
    
    Il la caresse. Il la chatouille. Et les voilà repartis pour une de leur spécialité.
    
    Ensuite, en rangeant leur chambre, je découvre sous le lit une mallette mal refermée. Je reconnais que je n’aurais pas dû, mais j’ai la curiosité de l’ouvrir. J’y découvre tout un attirail sexuel. Je ne suis pas surpris d’y voir le sextoys, Rabbit rose que j’ai vu Béa utiliser sur elle, outrageusement ouverte afin que son « mari » la photographie, possédée et gémissante par les vibrations de l’engin. Mais il y plein d’autres choses. Des menottes, une cravache, un petit fouet, un collier avec une chaîne, une masse métallique qui doit être un plug si j’imagine bien, d’autres sextoys et en particulier une ceinture sur laquelle on doit pouvoir monter certains de ces objets.
    
    Brefs, tout ce qu’il faut pour que Monsieur dirige Madame vers des plaisirs encore plus sophistiqués. Mais manifestement, c’est une partie de leur sexualité qu’ils veulent ...
    ... garder pour le secret de leur chambre à moins que ce soit lorsque je m’absente.
    
    J’ai la réponse inattendue le lendemain alors que je reviens à peine une heure après mon départ de la villa. Je suis affreusement dérangé par une digestion difficile et incapable de faire quoi que ce soit.
    
    Ils ne m’ont pas entendu revenir. D’ailleurs l’entrée est à l’opposé de la piscine. Ce que je vois me fait l’effet du plus puissant des médicaments. La mallette n’est pas que pour l’usage de Madame. Monsieur en profite aussi. Enfin si on peut dire « profite ».
    
    C’est lui qui a le collier autour du cou et que Béa tire à elle, lui la suivant à quatre pattes comme un petit chien. Un chien dont le cul brille aux éclairages de la piscine. Un disque de métal semble figé dans la raie des fesses et je réalise que c’est le plug. L’homme a le plug dans le cul.
    
    Elle l’emmène jusqu’à l’olivier. Elle le fait se lever à coup de claques sur les fesses. Je suis trop loin pour entendre, mais je sais qu’elle lui parle. C’est trop fort. Si inattendu ! Mon dérangement est oublié. Je n’ai qu’une envie. Regarder ! Surprendre ce que ce couple d’amants, déjà si impudique et imaginatif, peut bien vouloir célébrer lorsqu’ils sont seuls.
    
    Je fais le tour par la maison et en une minute me retrouve derrière le local technique heureusement silencieux. Je suis à quoi ? Moins de cinq mètres d’eux !
    
    Pendant mon absence la femme a attaché son amant en utilisant les menottes passées au-dessus d’une branche. Elle se ...
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