1. Châteaux en Espagne.


    Datte: 29/11/2020, Catégories: fh, hplusag, fplusag, vacances, piscine, hotel, hsoumis, Oral pénétratio, hgode, hsodo, confession, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... croyais qu’ils avaient besoin du regard de quelqu’un pour avoir du plaisir. Mais non.
    
    La deuxième fois, c’est une demi-heure plus tard. Un coup d’œil me montre que le champ est libre et je vais récupérer les verres vides et porter de l’eau fraîche avec des fruits. Je sais par expérience qu’on a souvent faim après une baise. Mais s’ils ne sont pas là. Enfin pas sur la terrasse. Mais un bruit me fait retourner et je les découvre dans l’eau. Madame est accrochée à la margelle de la piscine. L’eau transparente est une loupe où je vois que son mari est derrière elle lui tenant les hanches pour la maintenir allongée alors qu’il la possède. Je ne vois pas leur intimité, mais les mouvements parlent d’eux-mêmes déclenchant des séries de vaguelettes qui submergent par instant le visage de Madame. Je ne sais pourquoi, mais je me demande s’il la prend par-devant ou par-derrière. J’imagine que c’est ce questionnement associé à la surprise, mais je reste quelques secondes, qui peuvent faire penser que je les mate. Le soupir de la femme me réveille et je me sauve, craignant un reproche.
    
    Mais non. Rien. Enfin rien de plus qu’un : « Merci pour l’eau et les fruits » que l’épouse me dit gentiment un peu plus tard.
    
    Voilà donc mon quotidien. Leurs baises rythment le cycle de la maison. Je compte quatre à cinq baises par jour, et cela sans compter ce qui pourrait se passer dans leur chambre. Mais je pencherais pour une chambre de repos plus que d’ébats. Le mec a de la santé et je dois ...
    ... revenir sur mon jugement. Son âge et ses rondeurs ne l’empêchent pas d’être manifestement un bon coup. Et d’une certaine façon j’admire ce couple marié de se comporter comme s’ils étaient en voyage de noces.
    
    Bien évidemment je ne peux pas rester insensible à toute cette sexualité. Je ne peux m’empêcher de les regarder parfois, surtout qu’ils débordent d’imagination. Un mur, un arbre, une table, une chaise, une balancelle, tout est prétexte pour diversifier leurs positions. Le gros ventre de l’homme, Georges pour les intimes, ne l’empêche pas d’être d’une souplesse qui s’harmonise avec celle de sa femme. J’ai l’impression de tourner les pages d’un livre d’images sur le Kama Soutra.
    
    Aussi la nuit tombée, je laisse le couple et, avec mon scooter, vais en ville. C’est « Georges » qui m’a donné des adresses où on s’amuse. Comme j’ai la chance d’avoir un physique qui plaît aux filles, je trouve toujours une partenaire qui doit être surprise de mes ardeurs. Elle ne peut pas deviner ce que « j’endure » chaque jour.
    
    Mais finalement tout n’est pas si simple.
    
    D’ABORD, je découvre, en surprenant une conversation, que Madame n’est pas l’épouse de Monsieur. L’échange, d’ailleurs assez sec entre eux, est du genre :
    
    — Tu m’avais dit qu’on passerait tout le mois ensemble. Que sa mère était malade et qu’elle ne pouvait pas la quitter.
    — C’est ce que je croyais. Mais sa mère va mieux. Je ne peux pas l’empêcher de venir. Elle se doute déjà un peu que tu es ma maîtresse. Ce serait le ...
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