Châteaux en Espagne.
Datte: 29/11/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
fplusag,
vacances,
piscine,
hotel,
hsoumis,
Oral
pénétratio,
hgode,
hsodo,
confession,
Auteur: Romain, Source: Revebebe
... l’aviez dans votre poche et cette petite culotte est tombée pour se glisser sous le lit.
— Euh…
— Ne vous fatiguez pas, j’ai ma réponse. Georges a bien reçu une femme. Je le soupçonne d’avoir une maîtresse et elle était là avant moi.
— Euh…
— Marc, vous êtes un charmant jeune homme et ce qui est rare de nos jours, honnête et fidèle à la parole donnée. Georges vous a sans doute fait promettre de ne pas parler. C’est tout à votre honneur.
— Merci.
— Juste une chose. Cette culotte est bien à moi.
Elle rit devant ma surprise.
— Eh oui, elle est bien à moi et je m’en suis servie pour vous déstabiliser.
— C’est déloyal.
— Une femme trompée peut utiliser tous les moyens pour savoir. Rassurez-vous, je ne dirai pas à mon mari que vous me l’avez dit sans le vouloir.
Un long silence. Et puis.
— Si on dînait ici plutôt que de rentrer tout de suite ? Qu’en pensez-vous ? Vous aviez des projets pour ce soir.
— Non, pas vraiment. C’est juste qu’on nous attend.
Elle attrape son téléphone, appelle, obtient son mari, l’informe qu’elle veut dîner en ville. Je comprends qu’il propose de venir la rejoindre.
— Non ! Ce n’est pas la peine. Marc est avec moi. Ce sera mon chevalier servant.
Après une « bonne nuit » qui ne souffre pas la discussion, elle le laisse. J’espère que Georges ne va pas penser que je vais parler à sa femme. Aussi, discrètement je lui envoie un SMS disant :
Elle a une pêche d’enfer. Après le repas bien arrosé, elle me demande de lui faire ...
... visiter les endroits que je connais, car j’ai fait l’erreur d’insister que chaque soir j’allais en ville. Une façon de me dédouaner. Elle ne peut certainement pas imaginer que son mari et sa maîtresse baisaient de jour comme de nuit et sans se cacher. Sans parler de leurs séances de domination et de cette « Lucina ». À mesure que les heures passent, Maryse est de plus en plus familière. Nous déambulons « bras dessus, bras dessous ». Elle se déchaîne sur les rythmes exotiques. Elle se colle aux rythmes langoureux.
Il est deux heures. Georges m’a déjà questionné plusieurs fois. Je le rassure par des « tvb ». Maryse est de plus en plus entreprenante. J’ai essayé de ne pas entrer dans son jeu, mais c’est vraiment chaud. Comme nous sommes de la même taille, sa tête trouve une place naturelle contre mon cou. Je sens sa respiration et depuis un moment ses lèvres me caressent sous l’oreille. Elle se comporte en femelle qui cherche à éveiller le mâle. Elle se frotte. Sa poitrine est toute de douceur et de fermeté. J’ai la sensation que deux pointes attaquent mon polo. Ses mains n’ignorent plus rien de mes fesses.
Une femelle en chaleur. Un pubis qui se moule à moi et qui… Eh oui, je ne suis pas de bois, je bande. Ses lèvres deviennent plus actives. La garce passe même une main entre nous pour aller vérifier la réalité de la bosse. Elle quitte la chaleur de mon cou et pendant qu’elle moule sa paume sur ma bite maintenant plus que dure, elle sourit et semble me défier du regard.
— ...