1. Châteaux en Espagne.


    Datte: 29/11/2020, Catégories: fh, hplusag, fplusag, vacances, piscine, hotel, hsoumis, Oral pénétratio, hgode, hsodo, confession, Auteur: Romain, Source: Revebebe

    ... lui. J’étais prêt à tout. Me faire prendre. Enculer l’un. Enculer l’autre. Sucer. Pomper. Bref, prêt à tout pour relâcher enfin cette pression. Mais non. Je me suis fini, à la main, crachant mon foutre, dans une dérisoire vengeance, sur une chaise de tissu.
    
    Je les ai laissé terminer sans moi. Mais si je dis que je n’arrive pas à trouver le sommeil n’étonnera personne. Personne et encore moins ma visiteuse qui après avoir gratté à la porte de ma chambre demande :
    
    — Vous dormez.
    
    Bien sûr que non, je ne dors pas, pourtant je dois rêver.
    
    — Non, non, pas du tout. Lucina, mais que faites-vous là ?
    — C’est Béa qui m’a proposé de venir vous saluer avant de partir.
    — C’est gentil, merci.
    — En fait, elle ajoute, Béa m’a dit aussi que vous seriez, à même, de savoir profiter de mes charmes.
    
    Lucina avance et se retrouve nue avant que je n’aie le temps de protester.
    
    Pour ce qui suit, c’est une autre histoire. Mes draps s’en souviennent. Mais pas que ! J’avais oublié ce que cela fait de se faire mettre…
    
    ooo0000ooo
    
    Le lendemain Béa est partie laissant la place à la femme en titre.
    
    Une femme que je découvre, pas si « mégère » qu’annoncée. Au contraire, plutôt aimable et souriante. Une femme qui me respecte et qui me demande que le minimum de service. Juste que le lendemain elle me demande si je peux la conduire en ville :
    
    — Marc, vous êtes à la villa depuis plus d’une semaine si j’ai bien compris ?
    — Oui, votre mari m’a embauché après que je me sois fait ...
    ... dévaliser.
    — Avez-vous reçu des amies là-bas ?
    — Non, jamais. Pourquoi ?
    — C’est bien vous qui faisiez le ménage ?
    — Oui, enfin juste un peu. C’était convenu avec votre mari.
    — Je sais. Je voudrais vous poser une question.
    — Si je peux vous aider.
    — Mon mari a-t-il reçu des femmes pendant mon absence ?
    
    Aie ! Aie ! Que répondre ? J’ai promis de ne rien dire. En plus, c’est Georges qui me paye et s’il apprend que j’ai cafté, je peux dire adieu aux primes promises.
    
    — Madame, je ne…
    — Appelez moins Maryse. Ce Madame me vieillit.
    — Maryse, je ne peux pas répondre. Ni par oui, ni par non, c’est une question de principe. Ne m’en veuillez pas.
    — Quel âge vous me donnez ?
    — Maryse, c’est déloyal.
    — Alors, pensez-vous que je puisse porter cela ?
    
    Et elle sort une petite culotte de femme de sa pochette. Elle me la montre. C’est un string.
    
    — Euh, je ne sais pas.
    — Mais bien entendu que je peux porter cela. Je vois bien que mon mari m’a décrite comme femme coincée.
    — Euh…
    — Ne mentez pas. Oui, je peux porter cela et encore plus coquin. Qu’est-ce que vous croyez ! Le seul problème c’est que j’ai trouvé cela sous le lit de notre chambre et que ce n’est pas à moi. Alors ?
    
    Merde. Merde. Béa a dû la laisser tomber. C’est un comble alors qu’elle vivait nue en quasi permanence. Je me sens coupable de ne pas avoir mieux fait mon travail. Il faut que je trouve une idée.
    
    — C’est à moi. Le souvenir d’une amie. Une sorte de trophée que j’ai gardé.
    — Mais bien sûr, vous ...
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