1. Pauline à Marseille (7)


    Datte: 29/11/2020, Catégories: Trash, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... Ça, c’était la punition annoncée ; je vais te cogner cinq fois de plus, pour le plaisir. Plus fort. Tu as quelque chose à dire ?
    
    — Non, Monsieur, articula péniblement Pauline entre deux sanglots.
    
    Satisfait du degré de soumission de sa proie, le tenancier reprit donc sa correction lentement, posément, cinglant rudement le fessier en feu et arrachant de longs sanglots à la blondinette. Qui s’écroula en position fœtale à la fin, pleurant toutes les larmes de son corps.
    
    Quand Jamel vint la chercher, dix minutes plus tard, elle avait un peu récupéré et avait remis sa minijupe et son top. Comme elle était encore mouillée celui-ci colla à sa peau et devint quasiment transparent ; mais la jeune fille était brisée et trop épuisée pour s’en soucier. En silence, tête baissée, elle suivit le colosse dans la salle de bar presque vide.
    
    — Tu l’emmènes tout de suite chez tes cousins, expliqua Jacky. Vous pouvez la garder aussi longtemps qu’il le faudra pour la briser. Formation à la dure, soirées en tournante dans les caves, Gifles, martinet, cravache à volonté, qu’elle obéisse ou non. Une grosse rouste le matin au lever et le soir au coucher, trente coups minimum. Interdiction de la laisser jouir, interdiction de prendre sa chatte.
    
    — Mais… commença Pauline, horrifiée, avant de prendre une gifle sèche.
    
    — Ferme-la ! Dès son arrivée, grosse rossée pour lui apprendre sa place ; sur le dos, son cul a assez pris pour aujourd’hui. Jamel, tu passes vider sa chambre, tu mettras ...
    ... tout à la décharge. Plus aucune trace de ma petite pute.
    
    Complètement sonnée par la suite sordide des événements, le corps moulu par les longues heures passées à genoux et les fesses en feu, Pauline suivit Jamel jusqu’à son logement où elle dut elle-même empiler ses maigres possessions dans un grand sac poubelle qu’elle jeta ensuite dans une benne. Puis le grand Black la conduisit chez ses cousins, dans un appartement pourri au dernier étage d’une barre d’immeubles des quartiers nord.
    
    Au bas de l’escalier Jamel lui ordonna de jeter ses derniers vêtements. C’est donc juchée complètement nue sur ses talons hauts qu’elle entra craintivement à la suite de son guide. Pour se figer en arrivant dans le séjour, découvrant la dizaine d’hommes assis dans de vieux fauteuils et canapés. Abasourdie, n’en croyant pas ses yeux, la jeune fille se mit à trembler de tous ses membres : parmi les hommes présents, son père et Jules-Henri la toisaient avec un mépris non dissimulé. Pauline tenta de couvrir son corps, mais Jamel aboya des ordres secs :
    
    — Tiens-toi droite, les mains croisées sur la nuque ! Écarte les jambes et cambre-toi, tête bien levée, bouche ouverte…
    
    Sans réfléchir Pauline obéit, matée. Elle avait conscience des regards scrutateurs de son père qui jamais ne l’avait vue nue, pas plus que Jules-Henri, d’ailleurs. Là, ils pouvaient se repaître à loisir de la vision de son corps crûment exposé. De grosses larmes glissèrent sur ses joues pâles, faisant ricaner Jamel.
    
    — Tu ...