Pauline à Marseille (7)
Datte: 29/11/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
— Suis-moi, intima le gros tenancier. Je comptais te laisser travailler à ton aise mais tu m’as énervé. Alors pour te punir tu seras attachée les mains dans le dos. À genoux au-dessus des tinettes. Prends cet élastique, fais tenir tes cheveux en queue-de-cheval, les clients veulent voir le visage de la pute pendant qu’elle les suce. Et si un seul client vient se plaindre de ton travail, je serai obligé de prendre des mesures. Tu as compris ?
— Oui Monsieur.
Jacky ne libéra pas la jeune fille avant 21 heures. Quand il arriva devant les toilettes dont la porte avait été enlevée, il ricana en découvrant son état pitoyable : agenouillée cuisses écartées, les poignets menottés dans son dos, son visage défait aux traits tirés était couvert de sperme qu’elle n’avait pu avaler, en fait tout son corps en était maculé. Ce que voyant, le tenancier revint avec un tuyau d’arrosage avec lequel il nettoya une Pauline humiliée et lasse au-delà du possible.
D’ailleurs, quand il lui intima l’ordre de se lever, il dut l’aider car ses jambes ne répondaient plus. La douleur dans ses genoux la fit sortir de sa torpeur en lui arrachant des gémissements. Il la traîna dans le couloir et l’appuya contre le lavabo pour les enlever les menottes, et quand Pauline vit son reflet elle se reconnut à peine dans ce visage blafard aux yeux creusés et fiévreux.
— Tu as été médiocre mais je m’attendais à pire. Sur les trente-huit clients que tu as sucés, cinq seulement se sont plaints de tes ...
... services ; mais un d’eux était furieux, car tu lui as vomi sur la bite et sali ses chaussures. Tu étais prévenue, je vais te punir à coups de ceinture. Vingt coups sur les fesses. Ce soir, Jamel va te conduire chez ses cousins, ils s’occuperont sérieusement de toi. Tu y passeras le temps qu’il faut, mais quand tu en sortiras tu seras dressée. Tu ne me remercies pas de prendre soin de toi ?
— Eux… Si, merci Monsieur.
« Si ça peut lui faire plaisir, songea Pauline. Et m’éviter une gifle… Mais j’ai l’impression que mon stage en entreprise est fichu. »
— Monsieur, puis-je envoyer un message à la société qui m’emploie ? Ils vont s’inquiéter si je disparais sans les prévenir.
— Ouais… Tiens, ton téléphone. Envoie un SMS. Et fais vite. Explique-leur que tu as trouvé un autre stage, un contrat à durée indéterminée.
Toujours nue, appuyée contre le mur douteux car ses jambes tremblaient encore, Pauline s’exécuta. Elle rendit ensuite son smartphone à Jacky qui avait enlevé sa ceinture. Sans attendre son ordre elle se tourna et présenta ses fesses, se mordant nerveusement les lèvres. Les coups la tirèrent de sa torpeur par leur violence ; et pourtant Jacky se retenait, dosant avec soin leur puissance pour marquer profondément et faire mal, sans trop abîmer la marchandise.
Car dans son esprit elle n’était plus que ça, une marchandise dont la valeur dépendait de son aspect autant que de sa docilité. Quand il arrêta de frapper après vingt coups, il avertit la jeune fille :
— ...