JOHANNA une vie de putain 5 - Histoires de Sexe

JOHANNA une vie de putain 5

... punitions vont commencer et tu vas souffrir>>.

<<libère moi et ramène moi chez moi, je ne comprends pas ce que tu veux faire de moi et je ne t'appartiens pas>>.

Johanna reçoit une volée de coups sur le corps et de gifles qui tuméfient son visage.

Un coup plus violent que les autres l'envoie au sol.

<<cela prendra le temps qu'il faut pour que tu sois docile et que tu m'obéisse au doigt et à l'oeil>>.

<<dans quel but, je pensais que vous m'aimiez>>.

Prudente et voulant éviter d'être frappée elle le vouvoie.

<<je te trouve belle et tu me plais. Mais vu tes dispositions pour le cul ton avenir je le vois sur le trottoir>>.

<<vous voulez que je me prostitue, vous êtes malade, jamais je ne ferais ça>>.

<<il va falloir que tu comprenne et que tu te fasse à l'idée que tu seras bientôt une tapineuse et mets toi dans le crane que cela durera tout le temps où tu seras physiquement capable d'attirer les hommes>>.

<<non! vous ne pouvez pas faire ça>>.

De nouveau elle reçoit une paire de gifles.

<<tu m'énerve, allonge toi sur le ventre>>.

Johanna toujours sur le sol ne bouge pas.

Harold se dirige vers l'armoire, ouvre une porte, en sort des ustensiles et une cravache.

Il revient près de la jeune fille et la cravache s'abat plusieurs fois sur le corps de celle-ci, elle crie et tente de se protéger.

<<je t'ai donné l'ordre de t'allonger sur le lit>>.

Ce qu'elle fait rapidement pour éviter d'être encore frappée.

Elle se retrouve les ...

... poignets attachés ensemble dans le dos.

Il la retourne, l'oblige à ouvrir la bouche, y enfonce la boule d'un bâillon dont il noue les lanières côté nuque.

<<quand tu seras décidée à m'obéir tu le diras, en attendant tu resteras comme-ça et tu seras privée de repas>>.

Pendant longtemps Johanna pleure et malgré tous les stratagèmes qu'elle imagine elle ne voit pas d'issue à son calvaire qui ne fait que commencer.

Elle essaye de se débarrasser des liens qui entravent ses poignets mais c'est peine perdue.

Les jours passent, Harold ne vient la voir que pour lui donner à boire un peu d'eau et lui permettre de faire ses besoins dans un vieux pot de chambre.

Le temps paraît interminable à la jeune fille qui reste de longues heures et certainement des jours attachée et bâillonnée, désorientée elle n'a plus la notion du temps

Elle passe des jours et des nuits soit dans le noir un bandeau sur les yeux, soit avec la pièce éclairée en permanence d'une lumière forte pour la désorienter.

Une fois le bâillon enlevé, de guerre lasse, amaigrie et affaiblie elle finit par dire à son bourreau ce qu'il veut entendre.

<<maître je ferais ce que vous voulez>>.

Il n'est pas dupe.

<<d'accord mais tu n'en es qu'au début du dressage et il y a encore beaucoup de travail avant que tu me sois totalement soumise>>.

Il la libère et lui demande de se lever, ce qu'elle fait malgré la faiblesse due au jeûne, elle a des vertiges.

Il lui met autour du cou un gros collier clouté ...