JOHANNA une vie de putain 5 - Histoires de Sexe

JOHANNA une vie de putain 5

JOHANNA une vie de putain 5

Un après-midi, assis dans la voiture et après avoir fait l'amour avec Johanna, Harold son amant lui propose de partir en weekend avec lui au bord de la mer.

<<mes parents ne voudront jamais, vu mon âge ils ne vont pas me laisser partir pendant plusieurs jours et s'ils savaient que je te fréquente je passerais un sale quart d'heure, pour eux je ne dois penser qu'à mes études et pas aux garçons>>.

<<pourquoi leur demander la permission, si tu m'aime vraiment tu ne dois pas hésiter>>.

Pendant qu'ils discutent et qu'il tente de la convaincre Harold devient très câlin.

Il l'embrasse passionnément, passe une main sous le maillot et après avoir déplacé le soutien-gorge caresse les seins et triture les tétons.

Pour que Johanna soit plus réceptive il glisse sa main libre sous la jupe courte puis dans le string.

Après avoir caressé le sexe de la fille bien gluant à cause de la mouillure et du sperme qu'il a laissé à l'intérieur, alternativement il doigte ardemment la chatte ou masturbe vigoureusement le clitoris.

Comme les caresses se prolongent elle ferme les yeux ressentant fortement ce qu'il lui fait, les envies montent vite dans son ventre.

Il continue à lui parler du weekend et insiste pour qu'elle parte avec lui mettant en jeu les sentiments qui les unissent.

Sous l'effet du plaisir elle commence à gémir et râler, dans ces conditions elle peut difficilement continuer à refuser ce qu'il lui demande.

C'est ...

... pratiquement en criant, sans penser aux conséquences, qu'elle accepte la proposition quand la jouissance arrive.

<<oui! oui! je viens avec toi! je t'aime>>.

Le corps de Johanna se cabre et des giclées de cyprine s'échappent de son vagin mouillant son string et la main de l'homme.

<<vendredi attends moi à 17 heures à côté du pont à la sortie du village, je te conseille de ne pas prendre d'affaires pour ne pas éveiller les soupçons>>.

<<je ne vais pas passer plusieurs jours avec les les mêmes habits, ce n'est pas sain>>.

<<fais moi confiance, il n'y aura pas de problème pour les vêtements>>.

Follement éprise, Johanna lui fait totalement confiance et fait abstraction des conséquences de sa fugue surtout vis à vis de ses parents.

<<d'accord je t'attendrais>>.

Le vendredi Harold est exact au rendez-vous à la sortie du village ou Johanna l'attend impatiemment depuis un bon moment.

Elle monte à côté de lui et l'embrasse fougueusement, la voiture démarre aussitôt mais elle lui demande d'attendre.

<<je reviens, j'ai caché à côté du pont un sac contenant des habits>>.

<<tu n'aurais pas du>>.

<<il n'y avait personne à la maison, j'en ai profité>>.

Pendant le parcours la jeune femme est très excitée et aussi inquiète en pensant à ce qui va se passer avec ses parents lors du retour chez elle.

Ils roulent pendant un peu plus d'une heure.

Après avoir vu une pancarte indiquant "le pressoir" Harold s'engage dans un chemin de terre très caillouteux au grand ...