1. L'échafaudage complété


    Datte: 28/11/2020, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... Mon corps se détend aux premières chaleurs de l'excitation. Je bouge un peu pour écarter mes cuisses et donner plus libre court à mes doigts agiles sur ma fente. A coté de moi, Georges ronfle tandis que je me remémore ces instants où j'ai été violée par ces trois hommes affreux et sales. Le cyprine afflue dans mon vagin, mes doigts ouvrent ma fente et se glissent entre mes lèvres. Je ressens encore des douleurs à ce niveau, des frissons me rappellent que cet après midi ce n'étaient pas des doigts qui me pénétraient mais des sexes furieux, avides de jouissance. Je suis trempée, je sens que la cyprine coule entre mes cuisses. Jamais je n'ai ressenti de telles sensations, contradictoires. J'ai honte, mais j'ai une envie folle de me masturber, me remettre en mémoire cet horrible instant. Mais était il si horrible? Toute ma raison me crie que oui, mais mon corps et un démon enfouit au fond de moi me murmurent de jouir, de prendre ce plaisir malsain.
    
    Je succombe, j'oublie tout, mes douleurs, l'humiliation, et mes doigts s'agitent avec frénésie. Je me fais du bien, oui, voila ce que me murmure la petite voix: « Fais toi du bien! »
    
    Je jouis comme jamais pendant une masturbation, je pousse un cri, vite étouffé, j'ai peur de réveiller Georges, mais ses ronflements me renseignent sur son état d'inconscience.
    
    J'ai joui de ma mésaventure! Est-ce le signe que je l'ai accepté? Que je l'intègre à l'ensemble de mes souvenirs? Cet épisode va-t-il devenir fantasme à son ...
    ... tour?
    
    Allongée sur le dos, haletante, je pense à tout cela. Le visage de Hussein me hante, ses yeux d'un noir profond m'hypnotisent et reviennent sans arrêt à mon esprit. Je ne pourrai jamais oublier cette fièvre qu'il avait en lui.
    
    Cette nuit la fut courte, je ne pouvais trouver le sommeil, pas après cette aventure subie, je ne pouvais pas être en repos. J'étais nerveuse, je me levais sans bruit et je gagnais le salon. Derrière la baie vitrée la rue était vide, l'échafaudage avait disparu. Je ne sais pas pourquoi mais ce fait la me rassura et je pus enfin m'allonger sur le canapé et trouver un semblant de sommeil.
    
    Ce fut Georges qui me réveilla, je sursautais quand sa main se posait sur mon épaule. « Qu'est-ce qui t'arrive mon chou? Tu as dormi sur le canapé! »
    
    « Je...excuse moi mon amour, je n'arrivais pas à trouver le sommeil et je ne voulais pas te réveiller. »
    
    Georges a déposé un baiser sur mon front et il est reparti pour la cuisine préparer son petit déjeuner. Je suis restée couchée sur le canapé encore un long moment, le temps de remettre de l'ordre dans mes pensées, de retrouver le naturel qui me manquait encore pour affronter mon mari.
    
    Mais je devais rester allongée trop longtemps et quand Georges revint, il était sur le départ, en costume sombre, son attaché case à la main, précédé du parfum bon marché de son after shave qui finissait par m'écœurer. Un nouveau baiser sur le front, « A ce soir ma chérie » et puis la porte qui claque. Me revoilà seule avec mes ...