1. L'échafaudage complété


    Datte: 28/11/2020, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... part.
    
    Je repose l'enfant dans son berceau, il est grognon, pas vraiment rassasié, mais il faudra bien qu'il s'en satisfasse avant que mon lait ne revienne.
    
    Enfin je mets de l'ordre dans la chambre, faisant disparaitre les draps souillés dans le lave linge et tournant frénétiquement les boutons pour qu'enfin tout cela disparaisse et ne demeure qu'un mauvais souvenir dans un coin de ma mémoire.
    
    Et maintenant la douche, longue, chaude, je me lave et me relave, me frottant la peau au gant de toilette pour me purifier de tous les outrages que j'ai subis. Je dirige le jet puissant vers mon sexe que j'ouvre entre mes doigts, je lave de mon mieux tout l'intérieur de mon vagin. A cet instant, je regrette ne pas avoir une poire de caoutchouc, comme possédait ma mère. Une poire avec un embout de plastique qu'elle entrait en elle pour se laver l'intérieur. Cette poire lui servait aussi de contraception, combien de fois l'ai-je entendu dans la nuit, courir vers la salle de bains serrant contre elle la boite qui contenait le précieux objet. J'entendais l'eau couler et je me demandais si je devais aider maman. Mais à chaque fois elle s'en sortait bien toute seule. Je pense à tout ça sous la douche. Je reste la, longtemps, lavant et relavant mon corps, me vidant l'esprit.
    
    Quand le soir vient, je suis un peu apaisée, prête à recevoir Georges, mais les douleurs demeurent comme un rappel lancinant et pervers. La douleur sourde de mon ventre, cette épée de feu entre mes fesses qui ...
    ... m'empêche de m'assoir comme je le voudrais.
    
    Pendant le repas du soir je me tortille, passant d'une fesse à l'autre, la douleur est bien la, vive, brulante et je dois serrer les dents pour faire bonne figure à Georges. Il ne semble pas s'apercevoir de ma gène, je la cache au mieux mais comment chasser de mon esprit ce que je viens de subir. Plus tard, dans le lit refait de draps frais, je repense à ce que j'y ai enduré ici. Les douleurs sont toujours présentes, j'ai du mal à trouver le sommeil, j'ai devant moi le visage de Hussein, ses yeux fous, luisants d'un feu inquiétant. Je me souviens de tout, comment oublier?
    
    Mais a fond de moi une petite musique se fait entendre, celle des fantasmes. Ces fantasmes féminins de viol, il est commun à beaucoup de femmes mais heureusement que peu d'entre nous ne le subissent. Dans le secret de mon âme j'y ai pensé parfois, jeune adolescente se faisant peur sous les draps mais aussi se faisant jouir. Je me rappelle de ces soirs la où je me cachais, frissonnante et enfiévrée sous les draps pour me donner du plaisir, en pensant à une légion d'hommes le sexe dressé prêts à me saillir.
    
    Serait ce possible? Ma main se risque entre mes cuisses, elle frôle ma toison pubienne, je la trouve légèrement humide, comme un voile de sueur, mais ce n'est pas de la sueur. Mes doigts s'y arrêtent, caressants les poils drus et frisés. Un frisson court sur mon échine. Non! Je ne le ferai pas! Ma main ne m'obéit pas; mes doigts frottent doucement ma fente. ...
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