Un amour de tante
Datte: 27/11/2020,
Catégories:
ff,
fplusag,
oncletante,
intermast,
Oral
fgode,
initff,
Auteur: Nicogarner, Source: Revebebe
... innocentes, l’envie de corrompre cette délicieuse ingénue, de l’initier à toutes formes de perversions qui la ferait devenir une authentique lesbienne totalement libérée de ses inhibitions. Il lui arrivait souvent de fantasmer sur elle, atteignant des orgasmes aussi rapides qu’intenses qu’elle en restait ensuite désorientée, malade de honte et de remords. Un mal délicieux qui l’obsédait.
Julie secoua la tête pour chasser ces pensées impures, elle ne voulait plus y songer. Ingrid venait de tituber, et Julie l’accueillit aussitôt dans ses bras. Prévenante, elle l’étendit sur le canapé, la positionnant confortablement sur le dos, et Ingrid s’abandonna avec un râle éperdu. Elle était divinement affolante ainsi étendue, comme offerte, juste vêtue de dessous affriolants qui la rendait encore plus désirable. Julie n’y tint pas, lui caressa les épaules, le ventre, avec une douceur infinie. La caresse prit Ingrid par surprise qui se tendit comme un arc.
— Chut, détends-toi, lui susurra Julie au creux de l’oreille.
Sa voix était apaisante. Elle lui sourit, lui promit que tout allait bien. Ingrid se laissa bercer, se détendit. Bientôt, une chaleur intense envahit son corps alors que des doigts légers dessinaient des courbes autour de son nombril, remontant vers le haut, glissant entre ses deux seins pour escalader doucement celui de gauche.
Julie trouvait qu’elle avait une poitrine splendide et le lui dit d’une voix rauque. Elle posa sa main à plat sur le sein d’une façon ...
... plus appuyée, s’arrangeant pour frôler la peau nue près de la bretelle. La caresse était réellement déplacée, et Ingrid ressentit un long frisson inconnu, si différent. Cela n’était pas désagréable, bien au contraire. Elle sentit un souffle chaud vers son cou, et le baiser qui s’ensuivit la sortit brutalement de sa torpeur. Julie allait trop loin. En reprenant ses esprits, Ingrid ressentit un malaise. Elle avait hâte de quitter cette maison et une tante qui se faisait trop pressante. Elle balbutia des excuses, mit sa robe en vitesse et sortit précipitamment. Julie la rattrapa alors qu’elle regagnait sa voiture.
— Reste, ne fais pas l’idiote. Tu n’es pas en état de conduire.
Ingrid secoua la tête, dans l’incapacité de parler. Elle était encore bouleversée, en état de choc. Julie insista pour qu’elle ne prenne pas le volant et qu’elle dorme dans la chambre d’amis mais elle refusa catégoriquement. La fraîcheur de la nuit lui avait remis les idées en place et, sans un regard en arrière, elle démarra et s’éloigna à vitesse réduite.
Ingrid déverrouilla la porte de l’appartement et entra. Elle déposa ses affaires sur un des sofas. La journée à l’université avait été longue et fastidieuse, courant d’une salle de cours à une autre pour finalement s’enfermer trois longues heures à la bibliothèque afin de prendre des notes en vue de son mémoire de fin d’année.
Elle n’aspirait plus qu’à une soirée bien calme devant la télé avec un plateau repas. Une rediffusion d’un film avec ...