1. Ça c'est passé simplement 13


    Datte: 27/11/2020, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Macerou, Source: Hds

    ... je n’aurai jamais accepté qu’un homme me fasse. Je suis arrivée derrière elle et passant mes bras sous les siens j’ai pris ses seins. Elle a posé ses mains sur les miennes et m’a laissé faire et je lui ai dit : « défais toi » Elle a dégrafé son corsage et j’ai senti, ce que j’avais cru sentir au premier contact avec sa poitrine était une réalité, son soutien-gorge n’était qu’un quart de bonnet, ses seins étaient pratiquement libres. J’étais excitée au possible, je la voulais, j’étais devenue folle, je voulais la faire jouir, je voulais l’entendre jouir et je lui ai dit : « Viens dans mon bureau »
    
    On est arrivé dans mon bureau, elle s’est appuyé au bureau et me regardant droit dans les yeux elle a relevé sa jupe et une fois de plus elle m’a étonné. Elle était nue sous sa jupe. Puis s’installant sur le bureau les jambes largement écartées elle m’a dit : « Viens, … c’est ce que tu veux, … viens, … je suis à toi, … j’attends ce moment depuis trois jours, … fais moi jouir, … » et j’ai fait … comment vous dites les hommes, … ah, oui, … je lui ai bouffé la chatte, … Je l’ai prise avec ma langue puis j’ai mis un doigt puis deux dans sa chatte chaude, trempée et il n’a pas fallu longtemps, elle était tellement excitée, pour qu’elle se mette à jouir. Je l’ai fait jouir ...
    ... à tel point qu’elle a eu un orgasme qui l’a fait se cambrer d’une façon brutale, mais je n’ai pas arrêté et elle a eu un deuxième orgasme et s’est écroulée sur le bureau. Après avoir repris ses esprits elle est descendu du bureau, a pris ma main et a sucé mes doigts puis se collant contre moi, elle m’’a dit : « Merci, … c’était formidable » et rabaissant sa jupe elle est partie à son bureau. Pour ma part j’étais excitée au possible, et je dois reconnaître qu’un homme aurait été là, il aurait fait de moi ce qu’il voulait, mais j’étais seule, je me suis mise à mon bureau, la jupe relevée et je me suis calmée, je me suis fait plaisir, comme une gamine excitée.
    
    Evelyne s’arrêta et je dirais, quitta ses souvenirs, pour revenir à notre table, un peu confuse et elle repris : « Comment tu fais ? Tu pars il y a presque vingt ans, on se retrouve par hasard et je t’ouvre mon lit, puis comme une gamine, je viens te relancer dans ta chambre et en prime te raconte ma vie, je ne suis pas normale »
    
    Moi : « Mais non, tu avais besoin de te confier à une oreille attentive. Si on prenait un dessert »
    
    Le dessert récupéré je décidais de lui faire part d’un vieux rêve et je lis dis : « J’ai toujours rêver de voir deux femmes se donner du plaisir, … je pourrais peut-être, … » 
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