1. Ça c'est passé simplement 13


    Datte: 27/11/2020, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Macerou, Source: Hds

    ... Quand j’entendis une voix de femmes : « Ça y est tu es réveillé, … » et je sens deux lèvres qui se posent sur les miennes et : « embrasses moi, … » une langue vient chercher ma langue, alors qu’une main me caresse, avec beaucoup de douceur, les seins.
    
    Je réalise, à ce moment, que je suis dans le lit d’Anaïs et, enfin, presque tout me revient. La soirée trop bien arrosée, le déshabillage et ma mise au lit et que c’est Anaïs qui est en train de s’occuper de moi. Sa bouche, ses mains m’envahissent le corps, si mon esprit résiste un peu, mon corps apprécie et réagit, j’aime ce qu’elle me fait, et quand, sa tête entre mes cuisses, elle me prend avec sa langue, ses doigts, je m’ouvre, j’écarte les cuisses pour lui faciliter l’entrée et j’aime, … et elle me fait jouir. Ça été une explosion dans mon corps et dans ma tête, … alors que mon corps se calme un peu, j’ai la tête qui s’en va dans tous les sens et Anaïs revient contre moi et me dit : « Viens, … prends moi, … je veux être à toi, … depuis le temps que j’en rêve, … viens, … » et la curiosité, l’envie aussi de gouter à ce plaisir, … l’envie de voir ce que je pouvais faire, … je me suis occupé d’elle comme elle l’avait fait pour moi et j’ai réussi à la faire jouir. C’était dément. »
    
    Alors qu’au début, elle s’était racontée avec un peu de résistance, elle avait terminée tout à fait tranquillement, ce qui m’avait un peu estomaqué. Du coup je lui posais la question la plus idiote qui soit mais elle était partie sans y ...
    ... réfléchir : « Et maintenant tu en es où ? »
    
    Ce à quoi elle répondit très astucieusement : « Qu’en penses-tu ? »
    
    Moi : « Question idiote après ce qui c’est passé, mais je suis curieux et comment avez-vous évoluées ?
    
    Evelyne : « Le matin on s’est affairé, sans un mot, pour ouvrir l’agence à l’heure. Puis après l’ouverture les habitudes ont repris le dessus. C’est à dire Anaïs apporte le premier café et chacun à son bureau prépare la journée, puis deuxième café on se retrouve pour organiser l’ensemble. Il fallait bien que je me décide et je dis : « Je pense qu’il faut que l’on discute »
    
    Anaïs : « De quoi ? »
    
    Evelyne : « Bin, … heu, … de ce qui c’est passé cette nuit »
    
    Anaïs : « Ca devait arriver »
    
    Evelyne : « Comment ça devait arriver ?
    
    Anaïs : « Bon, … je vais t’expliquer, … les femmes de la famille ont, … disons un don, quand quelqu’un est bien avec nous, on le sent. »
    
    Evelyne : « Tu sens quoi ? »
    
    Anaïs : « On a comme une bouffée de chaleur, quand c’est le contraire on ressent du froid. Quand je suis venu la première fois, après avoir un peu parlé avec toi, j’ai eu très chaud, … je savais que je serais bien ici, … et tu m’as embauché »
    
    Evelyne : « Mais ça n’explique pas tout »
    
    Anaïs : « Mais si, … tu verras, … quand tu auras envie de moi, tu me le diras et on se retrouvera chez toi ou chez moi. … On a du travail. »
    
    Evelyne reprenant
    
    Je n’ai rien pu tirer d’elle. J’étais un peu sonnée. Deux jours non trois jours après, j’ai fait une chose que ...