Vie secrète d'un couple : apprentissage de la soumission (1)
Datte: 26/11/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: marla4, Source: Xstory
... de me rappeler des films et séries que j’avais vu à ce sujet, mais après réflexion je n’avais pas envie de tout retourner dans un accès de folie destructrice.
Je commençais par son armoire - oui nous avions des armoires séparées, il m’avait toujours dit que c’était plus pratique, je me rappelais alors ces paroles presque en frissonnant.
Caleçons, chaussettes, cravates, chemises... Rien de bien original ou inquiétant.
Mais en regardant presque par hasard derrière ses chaussures, je vis une boîte en carton assez ordinaire.
"Oh non... pensais-je directement.
Mais je devais me calmer, je ne savais même pas ce que j’allais trouver dans cette boîte.
En effet, en l’ouvrant mes craintes se dissipèrent devant une cravache en cuir, cela devait être pour les leçons d’équitation que mon mari prenait parfois.
Oui, il avait grandi en Argentine et là-bas sa famille avait toujours possédé des chevaux. Il avait gardé le plaisir de monter, et il disait que cela lui permettait de faire de l’exercice.
Je remis le couvercle de cette boîte en place et continuais mes recherches.
Je remarquais en me détournant de l’armoire qu’il avait oublié son ordinateur sur le bureau. Je n’avais encore jamais " fouillé" dedans.
J’avais l’impression d’être une vulgaire voleuse, pas la femme aimante que j’avais juré d’être lors de notre mariage.
Mais je m’inquiétais trop, je ne comprenais pas pourquoi cet homme que j’aimais semblait se détacher de moi.
J’ouvrais l’ordinateur, ...
... parcourant des dossiers aux noms d’affaires et clients divers. En vérité, je savais mon mari intelligent et s’il se livrait des activités répréhensibles je doutais trouver quelque chose de flagrant à portée de main.
Cependant, un dossier finit par retenir mon attention. Il s’appelait "soirées", je me demandais si c’était les photos qu’on prenait souvent de nous deux lorsque nous étions ivres - ce qui arrivait assez souvent entre les soirées de son cabinet, de la galerie et de nos amis respectifs - ou les rares fois où j’avais accepté de la beuh avec lui.
J’ouvrais la première photo et j’eus le souffle coupé.
C’était une femme, attachée par un enchevêtrement complexe de cordes, qui semblaient à la fois lui broyer la peau mais lui procurer un certain plaisir puisqu’elle souriait d’un air langoureux à celui qui tenait l’objectif.
Elle se tenait dans une position plus qu’équivoque, agenouillée, jambes écartées et bras attachés dans le dos : elle semblait offerte et dans l’attente de plaisirs certains.
Mon mari avait pris cette photo ? Mais à quelle occasion ?
Je parcourais le reste des photos ; un peu plus d’une centaine en fait.
Depuis combien de temps cela durait-il ?
D’autres femmes attachées grâce à des techniques de bondage (oui je m’étais renseignée depuis que Diego l’avait mentionné), certaines dans des positions assez acrobatiques et leur chatte très exposée.
Il y avait également certaines femmes dont le visage était recouvert de ce qui semblait ...