Vie secrète d'un couple : apprentissage de la soumission (1)
Datte: 26/11/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: marla4, Source: Xstory
... pas mal de pratiques, enfin pour moi la plupart étaient nouvelles et j’avais en général apprécié.
Nous avions dernièrement parlé de bondage, mais déjà la sodomie me semblait encore assez osée - nous l’avions introduite dans nos pratiques depuis maintenant deux ans mais j’appréciais assez peu cette intrusion dans mon fondement, je ne saurais expliquer pourquoi.
Diego, oui c’est mon mari, avait semblé déçu, me disant qu’il avait toujours pensé que j’étais "plus chaude que ça".
Je sentais comme un reproche, car si j’aimais le sexe et pouvais me faire pénétrer plusieurs fois par jour sans fatiguer, j’étais en fait assez conservatrice.
J’aimais bien sûr la levrette, mais même me faire tirer les cheveux paraissait parfois un peu violent, je n’aimais pas vraiment les fessées.
En fait, j’avais besoin d’une certaine once de douceur dans les gestes de mon partenaire, même si j’appréciais un peu de passion.
J’avais l’impression encore une fois de tout de même satisfaire Diego, même si parfois je le sentais un peu absent, les yeux dans le vide mais je mettais ça sur le compte d’un travail quelque peu stressant.
Cependant, un matin (il y a environ dix jours), il partit vraiment tôt, me disant qu’il avait énormément de travail encore une fois.
Je lui avais demandé d’un air coquin s’il pouvait tout de même un peu de plaisir avant de partir (j’aimais le provoquer un peu et je ne disais jamais non à un "petit coup rapide").
Il m’avait alors presque regardé avec ...
... amusement, sinon un dédain dissimulé, et avait rit avant de partir.
— Pas aujourd’hui mon cœur, vraiment je n’ai pas la tête à ça...
C’était assez rare pour être souligné et j’avoue que cela avait aiguisé ma curiosité, mais j’avais ensuite oublié, prise moi aussi par mes activités.
Je travaillais, quelques jours par semaine dans une sorte de café-galerie d’art dans notre quartier.
Oui, nous habitions en plein Paris grâce au salaire conséquent de mon brillant orateur.
J’avais également pris quelque temps pour décorer notre appartement, j’avais en fait presque tout choisi mais Diego m’avait donné "carte blanche" et avait semblé satisfait de mes choix.
Cependant, à l’heure où je vous parle, je trouvais mon mari plus qu’étrange et je commençais à avoir des doutes.
Oui, ce genre de doutes.
C’est pourquoi, ce matin-là, un des premiers jours d’avril, j’attendais impatiemment que mon mari parte au travail, afin de commencer des investigations qui me semblaient nécessaires.
J’en avais parlé à mes trois meilleures amies, que je connaissais depuis le lycée, et le verdict était sans appel : je devais collecter des preuves de son infidélité (oui, nous avions toutes pensé à la même chose).
Ainsi, après avoir entendu la porte d’entrée se fermer, je me levais presque en bondissant du lit conjugal, toujours en débardeur de nuit et culotte en dentelle noire.
Je ne savais même pas où chercher, car jusqu’à présent je lui avais toujours fait confiance.
J’essayais ...