1. Décollage autorisé


    Datte: 26/11/2020, Catégories: fh, extracon, voiture, amour, pénétratio, Oral Auteur: Clubescargot, Source: Revebebe

    ... besoin après toute cette abstinence ! La tension grimpa à toute allure. Bientôt le plaisir m’inonda avec force. Le reste du monde n’avait plus d’importance. Je fermais les yeux en fondant dans mon siège. J’avais envie de crier ma jouissance, et en même temps un soupçon de peur d’être découverts m’empêchait de me laisser aller complètement.
    
    — J’aime te voir jouir, commenta mon amant avant de lécher ses doigts et de redémarrer la voiture.
    
    L’embouteillage se défit et nous regagnâmes le périphérique. Mon chauffeur fit une halte à une station essence ; j’en profitai pour me déplier le dos en étirant mes bras au ciel tandis que Polo tirait avantage de sa morphologie pour éviter la queue aux sanitaires. À moins qu’il n’aimât tout simplement arroser les arbres.
    
    Il regagna la voiture de son pas nonchalant, un sourire en coin. Puis il plaqua sa bouche sur la mienne dans un long baiser mouillé et enroula sa main dans mes cheveux pour les tirer vers l’arrière. Obligée de suivre le mouvement, je reculai vers la portière. Il me fit pivoter et me poussa contre la carrosserie. Il posa ensuite mes mains sur le véhicule et écarta mes jambes l’une de l’autre.
    
    Allait-il s’agenouiller et me lécher consciencieusement ? Me faire encore jouir avec ses doigts s’insinuant partout ? Ou m’insérer un de ses jouets dont il avait le secret, caché dans sa poche ? Ni une ni deux, ma culotte et son futal étaient à terre. Jamais de caleçon, toujours prêt à l’action.
    
    — J’ai trop envie de te ...
    ... fourrer… dit-il en soulevant à nouveau ma jupe, prenant mes fesses dans ses mains.
    
    Il plongea son sexe dans le mien qui n’attendait que ça, lentement, prenant tout son temps pour nous faire sentir chaque millimètre de pénétration. Je n’avais jamais fantasmé de me faire sauter au grand air, ni de forniquer sur une bagnole. Non, tout simplement ce mec me rendait dingue de désir, au point que la peur d’être surpris, les tabous, la bienséance, ce que pouvait penser le reste du monde, tout ça n’avait plus aucune espèce d’importance. Rien n’était plus fort que l’excitation qu’il faisait grandir en moi.
    
    Je retenais ma voix tandis qu’il ne retenait plus ses coups. Bientôt ses doigts furetèrent à nouveau entre mes jambes, jouant avec mon clitoris encore tout gonflé, puis il se retira brusquement, se rhabilla et se remit au volant, me laissant sur ma faim.
    
    — Ouvre grand la bouche.
    
    L’éclair au chocolat qu’il inséra entre mes dents n’était pas de trop. Mon estomac avait été peu satisfait par les maigres sandwichs servis dans l’avion. Je mordis dans cette douceur avec délice.
    
    — Tu as senti une différence ? J’ai pris de nouvelles capotes avec des picots.
    — Humm, non, pas vraiment… avouai-je entre deux bouchées.
    
    La route et les lumières rouges défilaient à nouveau à un rythme hypnotique. J’avais encore l’impression de planer. Nous roulions sans encombre depuis de longues minutes lorsque Polo se rangea derrière un poids lourd.
    
    — Faut que je te dise quelque chose… Parce que ...