1. Décollage autorisé


    Datte: 26/11/2020, Catégories: fh, extracon, voiture, amour, pénétratio, Oral Auteur: Clubescargot, Source: Revebebe

    ... vin : ça se garde et ça se savoure !
    — Mais tu… enfin, je… je ne savais pas que tu viendrais me chercher !
    
    Ma bouche n’était plus qu’un énorme sourire traversé par une vague de joie immense, un vrai tsunami. Polo enfonça un doigt dans une de mes fossettes.
    
    — Surprise ! Jolie souris, tu m’as manqué ! Et – souffla-t-il à mon oreille – ton cul aussi.
    
    La main qui retenait mon poids glissa dangereusement le long de mes cuisses.
    
    — Arrête, il y a des gens, protestai-je en cachant mon visage dans son cou, heureuse de retrouver son odeur.
    
    Mes doigts se faufilèrent dans ses cheveux bruns et sa barbe douce, les ébouriffant dans tous les sens.
    
    — Personne ne fait attention à nous. Et c’est pour mieux te tenir, mon enfant ! assura-t-il avant de me couvrir de baisers.
    
    Je ne pouvais pas faire semblant de bouder plus longtemps et lui rendis baiser pour baiser, au coin de l’œil, sur l’arrête du nez, à la racine des cheveux, sur son grand front, derrière l’oreille… avant de coller ma bouche à la sienne pour la dévorer sans retenue.
    
    — Hé, ho, du calme ! fit-il pour m’agacer.
    
    Le vieux siège de la petite K me sembla être un nuage cotonneux. Je me sentais enveloppée de la plus douce des chaleurs. D’autres voitures voulaient également quitter le parking de l’aéroport, si bien que se formait un petit bouchon derrière les barrières de sortie.
    
    Comme mues par des aimants, ma jambe gauche et sa main droite se rencontrèrent. C’est fou comme une simple caresse sur le genou ...
    ... peut déclencher une myriade de petits frissons électriques ; comme si tout mon corps voulait être touché par lui, alors que l’idée même d’être effleurée par une autre personne provoquerait au pire un dégoût viscéral, au mieux de l’indifférence. Étrange comme la pensée se mêle au corps.
    
    Sa main fit le tour de mon genou et chemina sous le tissu léger de ma jupe tandis que je racontais dans un joyeux désordre les péripéties de mon voyage. Puis ses doigts glissèrent sur la face interne de ma cuisse, entourant cette partie nettement moins ferme de mes jambes et qui tend à me complexer. Les lumières des voitures au loin devant n’avançaient pour ainsi dire pas d’un iota. J’en profitai pour échanger un baiser avec mon chauffeur tout en caressant les petits cheveux sur sa nuque. Soudain le contact de sa main sur ma culotte me fit sursauter.
    
    — T’es fou, pas ici !
    — Ben pourquoi ? s’étonna-t-il.
    — Les gens dans leurs voitures !
    — De un, personne ne nous regarde ; de deux, il fait nuit noire… Et de trois, quand tu les regardes, tu vois quelque chose en dessous de la taille, toi ?
    
    En effet, force était d’admettre que j’apercevais à peine les silhouettes de la voiture nous précédant et que si je scrutais bien dans le rétroviseur la voiture suivante, seuls les bustes étaient visibles au-dessus du tableau de bord.
    
    Polo remonta alors ma jupe sans vergogne et plongea sa main dans ma culotte pour me branler comme il savait si bien le faire. J’en avais tellement envie, tellement ...