Réveil
Datte: 24/11/2020,
Catégories:
fh,
couple,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
tutu,
Auteur: Phoénix, Source: Revebebe
... entoure doucement ton sexe.
Ma chaleur t’enlace enfin, je te regarde réagir, tes lèvres frémissent, dans un mouvement léger comme une brise. Tu dors encore et je me sens fière de te laisser un peu de répit. Du bassin, je commence un ballet sensuel, m’aidant des accoudoirs pour soutenir mon corps dans une gymnastique incertaine.
Je continue mon manège, doucement coquine, avec un plaisir enfantin, comme observatrice lointaine, commençant à ressentir ces nombreux émois que tu fais éclore.
Mon fourreau qui glisse sur la longueur de ta hampe en un doux va-et-vient, me laisse impudique et audacieuse. J’accélère mon rythme, me retirant puis revenant, vibrant de tes réactions.
Ta nuque s’appuie à chaque fois contre le dossier, et ton corps répond de mieux en mieux au mien.
Tu es encore perdu dans les brumes du sommeil, émergeant lentement, mais ton bassin a adopté ce doux balancement qui me fait chavirer. Longuement je patiente, j’alterne les caresses, cajole et soupire, balançant souplement mon con à la rencontre de ton pubis. Tes lèvres s’entrouvrent sur un soupir sans fin, tu gémis et je te sens monter dans le désir. Ta hampe, rigide jusque-là, devient en mon centre de femme, comme métal brûlant, je connais tes soupirs, et approche mes lèvres des tiennes pour venir ramasser ton cri qui, comme chaque fois, va suivre.
Tes yeux voilés s’ouvrent sur mon regard malicieux, et ta bouche s’étire en un sourire espiègle et bien mâle. Tu entreprends de garder encore le ...
... plaisir à ce palier, juste avant l’ultime sursaut et je râle de te sentir te retenir contre mon flanc, garder cette jouissance en toi que je voulais tant. Tu observes mon visage navré d’un air rêveur et reviens au fond de ma tendre moiteur d’un coup de butoir bien peu innocent.
Moi qui voulais te voir m’offrir ton orgasme, me voilà prisonnière de mes sens et de ton regard. Je lutte pour te garder sous mon contrôle et me voici prise à mon propre piège, tu arrêtes alors mes mouvements lascifs en plaçant tes mains sur mes hanches. Tu bloques mes coups de bassin et le triomphe d’il y a un instant passe de mon visage au tien. Je geins et gémis pour t’avoir encore, mais tu ralentis, et têtue, je m’obstine coquinement, ne voulant pas céder ainsi, ni aussi vite, alors que je t’avais si bien une minute avant, en mon pouvoir sensuel. Tu le ressens, reconnaissant cet air obstiné qui te titille, et en réponse, me bascules d’un coup de reins plus haut que les sommets déjà atteints, glissant ta bouche contre mes seins, saisissant au passage un mamelon érigé, le mordillant comme un artiste, laissant sur mon corps arqué des sensations délicieuses.
Je veux retenir comme toi ce plaisir qui grimpe d’une octave jusque dans ma voix… Tu m’emplis si bien, en homme sensible mais félinement sensuel, que je te pense bien plus savant de mon corps que moi. Je réponds d’un râle presque animal, mordant ma lèvre inférieure pour retenir le cri qui vient, la bouche colorée maintenant de ce ton vermeil qui ...