Enfin le passage à l'acte ?
Datte: 24/11/2020,
Catégories:
f,
ff,
caférestau,
toilettes,
amour,
fsoumise,
fdomine,
uro,
fbi,
Auteur: Claire-totobas, Source: Revebebe
... me libérer plus tôt. Je peux t’appeler ?
— Tu m’as fait attendre ! J’étais inquiète. Appelle-moi vite.
Dans la seconde, le téléphone sonna.
— Bonjour Claire. Je te prie de m’excuser, mais j’ai été très troublée par notre dernière rencontre, et il fallait que je fasse le point.
— Tu n’as pas apprécié notre « complicité » ?
— Si, justement… Un peu trop peut-être, mais…
— Mais ?
— Je pense beaucoup à toi et j’ai du mal à me projeter dans l’avenir.
— C’est à dire ?
— Tu m’as parlé d’un de tes fantasmes, et depuis l’idée m’obsède un peu
— La fessée ?
— Oui, et tout ce qui va avec… Je ne sais plus où j’en suis. Lorsque tu m’as surprise dans les toilettes, j’ai eu un sentiment de honte tellement fort qu’il a déclenché mon orgasme. Je me suis sentie humiliée, et j’ai aimé ça. Depuis, dès que je suis seule, je n’arrête pas de me caresser en pensant à ce que tu pourrais me faire ou me faire faire…
— Comme maintenant ?
— Oui.
— Tu voudrais que je te dise quoi faire ?
— Ouiiii…
— Décris-moi ta tenue.
— Je porte un mini short et un chemisier noir. En dessous une culotte rouge en dentelle et un soutien-gorge sans bonnets. Sachant que j’allais te téléphoner, j’ai dû mettre un protège-slip. Je suis toute seule. J’ai ouvert ma braguette. J’ai envie d’être à toi.
— C’est bien ! Es-tu prête à me suivre ?
— J’adorerais être ta soumise, je ferai ce que tu me diras.
— Tu vas caresser tes seins sur le chemisier. Tire sur les pointes, plus fort ! Dis-moi ce que tu ressens ...
... !
— Mmm, je me liquéfie, je suis trop excitée. Continue, ma chérie.
— Maintenant, tu peux faire glisser un doigt sur ton sexe, lentement, de haut en bas, mais sans jouir ! Tu ne pourras le faire que quand je t’en aurai donné la permission ! Hou la la je me lâche, on continue ma Véro ?
— Ouiii, oui, Claire, je t’obéis. Mais vite j’ai envie de jouir. Insulte-moi, mon cœur, s’il te plaît, insulte-moi.
— Petite salope, si tu es aussi cochonne que tu le prétends, ta serviette doit être humide. Je veux que tu la sentes.
— La serviette est trempée, elle s’est déchirée. Elle est gluante et très odorante.
— Tu peux maintenant reprendre la caresse sur ton sexe, lentement, tu fais tourner le doigt sur le clitoris, puis tu descends vers ton puits d’amour pour le remplir. Voilà, tu fais des va-et-vient de plus en plus rapides en te caressant le clito de l’autre main. Je te mordille l’oreille pendant ce temps. Sens-tu ma langue ? Je t’interdis de jouir ! Pas encore !
— Je n’en peux plus, Claire. Je voudrais que tu me fasses goûter ta cyprine et ton pipi.
— Tu es une véritable cochonne ! Bien tu as mérité que je me dresse devant toi, les jambes écartées. Je remonte lentement ma robe pour découvrir ma culotte aussi trempée que la tienne. Tu ne me touches pas ! J’enlève ma culotte et dans ma position, mon sexe s’entrouvre même si les lèvres sont un peu collées par la cyprine. Je t’ordonne de t’approcher pour me sentir, plus près, encore plus près. Stop ! Je veux que tu écartes mes lèvres ...