1. Enfin le passage à l'acte ?


    Datte: 24/11/2020, Catégories: f, ff, caférestau, toilettes, amour, fsoumise, fdomine, uro, fbi, Auteur: Claire-totobas, Source: Revebebe

    ... précipita dans la maison. Une auréole ornait sa robe blanche au niveau des fesses. Je me décidai alors à la suivre. Personne dans la cuisine, j’entendis de petits bruits dans le couloir dans lequel je m’engageai. Dans sa précipitation, Véronique avait laissé la porte des toilettes entrouverte. Assise sur la cuvette, elle m’offrait un spectacle ravissant, se masturbant les yeux révulsés.
    
    — Tu es belle, oui, lui dis-je
    
    Surprise, elle ouvrit les yeux et fut prise d’un fulgurant orgasme alors que je m’approchai. Ses cuisses tremblaient et son ventre était pris de convulsions tant la jouissance était forte.
    
    Elle leva les yeux vers moi, le regard empli de reconnaissance.
    
    — C’est bien ce que je pensais, lui dis-je en lui caressant la joue avec le doigt.
    — Viens m’embrasser, fut sa réponse en m’attirant vers elle
    
    J’étais à genoux entre ses cuisses écartées, la bouche collée contre la sienne. Ce baiser sembla durer une éternité, quelle douceur…
    
    — Il faut que je me change, dit-elle en reprenant ses esprits, mais d’abord il faut que je me soulage.
    
    Sans aucune gêne je la vis faire pipi en me souriant.
    
    — Ben quoi, c’est naturel !
    
    Je savais que j’allais conserver cette scène dans mon esprit pendant longtemps.
    
    — Non laisse-moi t’essuyer, la suppliai-je
    
    C’est avec un joli sourire qu’elle accepta. Je ne pris qu’une seule feuille, qui bien entendu se déchira laissant mes doigts directement en contact avec ses muqueuses encore humides.
    
    — Tu es une petite ...
    ... cochonne, me dit-elle, mais ça suffit pour aujourd’hui.
    
    Je la laissai à regret non sans lécher discrètement mes doigts.
    
    Nous retournâmes à table, comme si de rien n’était, mais si nos maris avaient été plus attentifs, ils auraient pu voir que nos yeux brillaient de bonheur.
    
    La fin de journée arrivait, il était temps de nous quitter.
    
    — Ne dois-tu pas me rendre quelque chose ? chuchota Véronique.
    
    Je me contorsionnai sur mon siège pour retirer discrètement le fin tissu maculé de nos deux sécrétions intimes. La culotte était trempée lorsque je la lui remis dans la main.
    
    — Je vais en faire bon usage pendant ces quelques jours.
    — Je vais être frustrée de ne pas avoir de trophée, lui répondis-je.
    — Je crois que tu auras de beaux souvenirs plein la tête, non ?
    — Oui, mais rien d’aussi intime.
    
    Mon cœur battait la chamade. Devenais-je amoureuse ?
    
    La séparation fut douloureuse. J’embrassai chaleureusement Véronique sur la commissure des lèvres ce qui la fit une nouvelle fois sourire.
    
    — Tu es une petite polissonne, dit-elle en me toisant. Je t’appellerai dès que je le pourrai.
    — Tu vas me manquer.
    — Attends mon retour. Qui sait ce qui se passera ?
    
    La journée se terminait, et je pensais aux merveilleux instants en la compagnie de Véronique. Exténuée, je m’endormis rapidement, non pas dans les bras de Morphée, mais bien ceux de Véronique.
    
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    Deux jours plus tard, je recevais enfin des nouvelles par SMS :
    
    — Désolée, mais je n’ai pas pu ...
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