Aline, de l'agence immobilière
Datte: 23/11/2020,
Catégories:
fh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
intermast,
pénétratio,
fsodo,
init,
Auteur: Zen, Source: Revebebe
... en bonne et due forme de l’appartement. Et l’amour par terre, debout ; ou elle assise sur un élément de cuisine et moi debout devant elle. Il y avait aussi cet appartement avec une mezzanine, où l’un de nous s’asseyait dans l’escalier, et l’autre se plaçait quelques marches plus bas pour le régaler du bout de sa langue.
Et il y avait enfin cet appartement où notre relation a fini par basculer. Il était meublé, mais inoccupé, propriété d’un riche Libanais que nous avions surnommé (à tort) « le prince arabe », et qui n’y mettait jamais les pieds. Il avait donc décidé de le mettre en vente, et nous nous y étions retrouvés une ou deux fois, Aline et moi. On s’installait alors dans une curieuse chambre, où le lit était plus au moins au centre de la pièce, avec des miroirs aux murs. Ça avait un petit côté lupanar, ça nous amusait bien.
J’étais ce jour-là en train de donner du plaisir à Aline, la tête entre ses cuisses, quand je l’ai sentie d’un coup se crisper, se raidir. Je devais avoir les oreilles obstruées par se cuisses, je n’avais pas entendu la porte s’ouvrir. Mais quand le gars qui est entré s’est mis à hurler, alors là, j’ai bien tout entendu, et j’ai tout de suite compris. Le « prince arabe », il était là, à poil, vert de rage, hurlant. Il connaissait Aline, il a tout de suite tout compris, il écumait. Il nous a hurlé de sortir, nous a donné trois minutes pour déguerpir avant d’appeler les flics, a déclaré qu’il allait faire un scandale au boulot d’Aline, et est ...
... parti en claquant la porte.
Nous étions anéantis. Aline surtout. Si on s’en sortait sans problème judiciaire, ce qui était loin d’être évident, elle allait être virée avec pertes et fracas, et elle ne trouverait sans doute plus jamais de boulot dans le secteur. Or je savais comme son boulot était important pour elle. J’ai enfilé à la hâte mon caleçon et mon pantalon, j’ai dit à Aline : « Attends-moi, j’essaie d’arranger le coup… », et j’ai quitté la chambre à la recherche du propriétaire.
Il y avait une porte de chambre ouverte, j’y ai jeté un coup d’œil ; il y avait une fille sur le lit, et sa tenue et les accessoires à côté d’elle m’ont tout de suite fait penser à une professionnelle de l’amour. Mais là n’était pas la question, je cherchais le propriétaire, et il n’était pas dans la chambre en question, mais dans le couloir, assez curieusement contemplant un placard ouvert. Me voyant arriver il a refermé le placard. Il semblait s’être un peu calmé.
J’ai essayé de bredouiller des explications, carrément désordonnées :
— Désolé… Désolé… C’est ma faute… C’est moi, pas Mademoiselle Bouteloque…
J’ai essayé de lui baratiner que c’était de ma faute, moi client, ayant abusé d’Aline pendant la visite, qu’elle n’était pas d’accord, que j’étais responsable de tout, qu’il ne fallait pas la blâmer ni prévenir l’agence… J’étais crédible à 0 %. Il a fini par m’interrompre.
— Ce qui m’énerve le plus, ce n’est pas votre incroyable sans-gêne, ni la malhonnêteté de Mademoiselle ...