1. Aline, de l'agence immobilière


    Datte: 23/11/2020, Catégories: fh, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme intermast, pénétratio, fsodo, init, Auteur: Zen, Source: Revebebe

    Aline et moi, nous avions tellement l’habitude de faire l’amour dans ces grands appartements vides de tout meuble, que quand nous nous retrouvions dans une petite chambre normalement meublée, nos ébats n’avaient pas tout à fait la même saveur. Ça nous manquait de ne pas entendre l’écho de nos gémissements retentir dans ces pièces trop vides. Un lit, c’était peut-être aussi trop confortable pour nous qui étions habitués à le faire debout.
    
    Habituellement, on se retrouvait dans un de ces immenses logements dont l’agence qui l’employait avait les clés. Si c’était la première fois que nous y allions, elle me faisait visiter comme si j’étais n’importe quel client. C’était une vendeuse formidable, elle savait vraiment mettre en valeur le bien qu’elle avait à vendre, elle savait trouver le détail qui tue pour vous faire adorer l’appartement en question. Elle prenait son temps pour me faire découvrir les lieux, mais dès la « visite » finie, nous tombions dans les bras l’un de l’autre. Nous faisions souvent l’amour debout, nous étions devenus des experts de la chose. Notre position préférée, c’est quand elle trouvait un rebord de cheminée, ou une tablette pour s’appuyer, penchée en avant, les jambes écartées, et moi derrière elle, la pénétrant, un sein dans chaque main, à jouer avec la pointe, ou une de mes mains descendant vers son sexe pour la caresser.
    
    On ne s’était, en fait, pas rencontrés dans une visite d’appartement, mais bêtement, dans une brasserie. Elle déjeunait ...
    ... seule à la table à côté de moi, on a lié connaissance ; c’était une conversation plus que sympa, elle avait un charme fou, je lui ai dit par la suite que j’étais tombé amoureux du geste qu’elle avait souvent pour écarter cette petite mèche de cheveux qui cachait son visage. Bien sûr, je sais bien que les coups de foudre, ça n’existe pas, mais quand même… Arrivé au dessert, j’étais paniqué à l’idée que je risquais de ne plus la revoir. Quand elle m’a dit qu’elle travaillait dans une agence spécialisée dans les appartements de luxe des beaux quartiers, j’ai plongé sur l’occasion : ça tombait bien, j’étais justement moi-même à la recherche d’un tel appartement à acheter. Rendez-vous fut pris pour le lendemain midi. Ouf, sauvé ! Au moins jusqu’au lendemain.
    
    Le lendemain, quand j’ai sonné à la porte de l’appartement en question, elle était si belle dans son tailleur, mon cœur a fondu. Je me suis senti obligé de lui avouer tout de suite que je n’étais pas du tout venu visiter l’appartement, que je n’étais pas acheteur, mais que j’avais inventé tout ça pour la rencontrer une nouvelle fois. Elle s’est marrée, et m’a dit : « Ah mais le problème c’est que je vous ai déclaré comme visiteur de cet appartement à l’agence ! Si vous ne le visitez pas et si vous ne signez pas le certificat de visite, je vais me faire taper sur les doigts… ». Bien sûr, je lui ai dit que pour éviter qu’elle se fasse taper sur les doigts, et surtout pour rester une demi-heure de plus avec elle, j’étais prêt à ...
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