1. La petite asiatique et l'écrivain


    Datte: 23/11/2020, Catégories: Hardcore, Masturbation Première fois Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... ce temps… »
    
    « Ce n’est pas grave, dis-je. Je vous pose cette question, car dans mon premier livre, il est question d’une relation entre une adolescente et un voisin à elle qui lui donnent des cours de français. Il a plus ou moins mon âge. »
    
    Elle hocha la tête. Elle me regardait attentivement.
    
    « Et ? dit-elle. »
    
    « Et ils font l’amour chez lui, deux fois par semaine. J’avoue que le film Noces Blanches m’a beaucoup inspiré. L’avez-vous vu ? »
    
    « Oui, il n’y a pas très longtemps. »
    
    « Qu’en avez-vous pensé ? »
    
    Elle détourna le regard pour chercher les mots de sa réponse dans le décor de mon salon, puis elle dit :
    
    « J’ai eu ce genre de relation quand j’étais au lycée, en seconde. Avec un professeur de maths. Je déteste les maths. Il était un peu plus âgé que Bruno Cremer dans le film. Et vous, avez-vous déjà eu ce genre de relation ? »
    
    « Oui, dis-je. Ça m’est arrivé. »
    
    « Avec une fille mineure ? »
    
    « Oui, elle était en première. »
    
    « C’était dans le cadre d’un exposé à rendre ? »
    
    « Non, c’était une simple lectrice venue me voir sur un salon du livre. Elle avait précisément apprécié mon premier roman. »
    
    « J’aimerais le lire. »
    
    « Il doit m’en rester deux ou trois exemplaires dans un coin. Je vais vous en offrir un. »
    
    « C’est très gentil à vous. Je le lirai et je reviendrai vous voir pour vous dire ce que j’en ai pensé. Où se trouvent vos toilettes, s’il vous plait ? »
    
    Je lui indiquai la porte des toilettes, puis elle se leva et je la ...
    ... regardai quitter la pièce. Je bandais. Je repensais à la fois à cette lycéenne avec qui j’avais couché, à la fois au petit cul de Vanessa Paradis dans le film, mais aussi à celui de Mia et aux questions qu’elle m’avait posées.
    
    J’avais écrit une dédicace à cette fille, quatre ans auparavant, et elle l’avait lue en ma présence. J’y faisais référence à son agréable sourire et à ses yeux magnifiques. Elle les avait relevés aussitôt après avoir lu, en rougissant.
    
    Puis elle m’avait dit :
    
    « Merci beaucoup. »
    
    Et elle était partie, mais je l’avais recroisée en fin de journée, au café du salon du livre. Elle était seule à une table et je m’étais approché d’elle. Je lui avais offert un verre et nous avions parlé pendant un moment. Elle m’avait rejoint, le soir, après le repas organisé pour les auteurs. J’avais eu très peur de lui briser le cul en la pénétrant en levrette sur mon lit.
    
    Je connaissais un autre écrivain qui aimait s’envoyer des jeunes de cette façon, quand l’occasion se présentait. Nous en avions parlé un soir ensemble, après avoir bu quelques verres.
    
    Un ancien pote de lycée, devenu prof de philo, m’avait aussi raconté qu’il se tapait des lycéennes de temps en temps. Et même une fille de troisième, une fois. Il m’avait donné des détails, cet enfoiré.
    
    Dans mon premier roman, les scènes de sexe étaient décrites de façon plus crue qu’elles n’étaient montrées à l’écran dans le film Noces Blanches. Il y avait notamment une fellation qui durait vingt lignes, ...