1. La petite asiatique et l'écrivain


    Datte: 23/11/2020, Catégories: Hardcore, Masturbation Première fois Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    Curieusement, à cette époque, je n’avais jamais fantasmé sur des filles d’origine asiatique. Et en acceptant de répondre au questionnaire de celle avec qui j’avais rendez-vous ce jour-là, je ne pensais pas que l’envie me viendrait.
    
    Elle s’appelait Mia. Elle était coréenne. Elle m’avait contacté par mail pour me dire qu’elle était en première année de fac de lettres modernes et qu’elle devait faire un exposé sur le métier d’écrivain. Je ne croulais pas sous le travail à ce moment-là, alors nous avions fixé un jour et une heure où elle pourrait venir chez moi et me poser ses questions.
    
    C’était un mardi, à 10h du matin. C’était le printemps et il faisait doux.
    
    Mia fut ponctuelle et je l’invitai à entrer, puis à s’asseoir dans le canapé de mon salon. Elle accepta de prendre un café. Elle était assez grande, très mince. Ses cheveux noirs, longs et très fins, lui arrivaient presque aux fesses. Elle portait une petite laine vanille, un chemisier crème, uni, une jupe en daim marron, assez courte, et des bottines également en daim, mais noires. Ses jambes étaient bues et ses yeux bridés m’évoquèrent des petites meurtrières horizontales. Sa peau très claire de son visage ne portait pas la moindre trace de maquillage.
    
    J’ai déposé deux tasses sur la table basse et me suis installé dans un fauteuil situé en face du canapé où l’étudiante avait ouvert une chemise rouge cartonnée dont elle sortit deux ou trois feuilles blanches. Je suivis tous ses gestes sans rien dire. J’avais ...
    ... déjà répondu aux questions d’autres étudiants par le passé, et c’étaient bien souvent les mêmes qui revenaient. C’était assez ennuyeux, mais il me semblait important de consacrer un peu de temps aux jeunes en phase d’apprentissage.
    
    Je fus surpris par la première question de Mia :
    
    « Vous vivais seul ? »
    
    « Oui, dis-je. »
    
    « C’est un choix ? »
    
    « Oui. J’ai besoin de calme pour travailler. Besoin de disposer de tout mon temps et de tout mon espace. »
    
    Elle écrivit quelques mots en haut d’une feuille, puis dit :
    
    « Cela fait-il de vous un être associable ? »
    
    « Non, je ne crois pas. Vous ne seriez sans doute pas assise en face de moi si c’était le cas. »
    
    Elle me retourna un discret sourire et j’ajoutai :
    
    « Et je suis souvent invité sur des salons du livres qui me confrontent à beaucoup de monde et de bruit. Mais j’aime rentrer chez moi et retrouver ma solitude. »
    
    Elle nota tout cela et je l’observai pendant ce temps. Ses cuisses étaient serrées et elle ne portait aucune bague à ses doigts qu’elle avait longs et fins.
    
    Elle releva les yeux :
    
    « Cette solitude a-t-elle un impact sur votre vie affective ? »
    
    « Vos questions sortent de l’ordinaire, dis-je. »
    
    Elle sourit un plus franchement et répondit :
    
    « J’ai récemment eu l’occasion de lire des questionnaires d’étudiants des années passées. Je les ai trouvés franchement rébarbatifs, pour ne pas dire chiants à mourir, et j’imagine que c’est aussi le cas des profs de la fac, alors j’ai essayé de ...
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