1. Hélène 16 : le meuble anglais


    Datte: 23/11/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Rouge, Source: Hds

    ... dodelinant de la tête.
    
    Ma belle est superbe, cambrée, disponible, chatte, bouche, cul. Même avec un petit excès de poids, elle est magnifique. Vue de derrière, sa croupe épanouie est un appel à la sodomie et au fouet.
    
    - - Chéri, et les voisins, pas de bâillon ?
    
    - - Ne t’inquiète pas, j’ai mieux.
    
    - - Mieux ???
    
    Je me place de côté. J’abats ma badine sur ce popotin qui me nargue. Pas trop fort pour commencer. Un petit vagissement me répond. Mais surtout elle a sursauté. Le mouvement de sa tête s’est répercuté sur le crochet. Elle vient de comprendre ce qui l’attend. Si elle tire trop fort avec sa tête sur son leurre, il l’empalera brutalement.
    
    Je laisse la marque rougir, puis le relance mon bras plus fort. Elle étouffe son cri Je recommence en croisant les marques. Je jouis de la vision de son corps sublime en transe. Elle est secouée de la nuque jusqu’au fessier selon le rythme de ma cravache. Et son anus est sollicité de même. Les ventouses de ses seins s’entrechoquent. Elle a de plus en plus de mal à maitriser ses plaintes et son empalement.
    
    Encore un coup en travers, et je marque une pause.
    
    Je me place face à elle. Elle ouvre les yeux. Je lui présente mon membre. Je pose un doigt sur sa lèvre inférieure et j’abaisse sa mâchoire. Je l’embouche.
    
    Il enfourne sa belle verge. Je l’engloutis avec plaisir. Puis une cinglée tombe sur mes pauvres fesses. Je veux crier mais il me bâillonne. Je ne peux même pas serrer les mâchoires. Je me rappelle le ...
    ... supplice de Julia.
    
    Les lanières du martinet me frappent à nouveau. Il alterne la fouettée et le va et vient dans ma bouche, parfois il s’enfonce jusqu’à ma gorge, m’étouffant.
    
    La douleur de l’empalement s’ajoute à celle de la cuisson de mon cul, de l’étouffement.
    
    J’ai mal, je pleure, et pourtant je ne veux pas qu’il s’arrête avant qu’il jouisse en moi. Ma bouche, mes seins, mon cul, ma souffrance ne m’appartienne qu’à lui, au service de son plaisir.
    
    Je veux me maîtriser. Je suspends mon bras, je me recule. Je ne veux pas quelle dépasse son seuil de souffrance.
    
    Il arrête ma flagellation, et se retire, j’ai son beau membre devant les yeux. Il ne m’a pas fait don de son élixir, je suis frustrée. J’aurais tellement aimé qu’il se vide en moi en forçant ma gorge. Je voulais donner ma souffrance pour sa jouissance.
    
    Elle halète, elle reprend son souffle, elle a pleuré, peut-être à cause de la fouettée.
    
    Son beau visage, un peu empâté est maculé de traces de rimmel. Mais, je dois encore la traiter.
    
    Mon bourreau adoré se penche vers moi, il m’essuie le visage, je lui tends mes lèvres pour un baiser, il s’esquive et se relève. Il dénoue le lien qui me cabre la nuque, et dépose doucement mon menton sur le support. Puis il passe derrière moi. Il tire doucement le crochet. Je ne peux m’empêcher d’émettre un râle de plaisir quand la boule passe mon anneau bistre. Il s’agenouille près de moi. Doucement il casse le vide des ventouses et libère mes seins. Dans la glace, je peux ...