Hélène 16 : le meuble anglais
Datte: 23/11/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Rouge, Source: Hds
... de chaque côté de l’élancement central.
Je dégrafe les boutons de mon chemisier. La pièce de bois s’insinue entre mes seins, au contact de ma dentelle intime.
Mon menton se pose sur le té légèrement creusé au bout de la courbe qui prolonge la pièce étroite.
Je suis installée sur ce meuble. Je lève les yeux et je surprends mon reflet dans le miroir du dressing.
Ma belle chevelure coule sur mon visage soulevé par la mentonnière.
Ma poitrine ne demande qu’à s’échapper de mon soutien-gorge.
Une main caresse mon mollet et remonte sur mon bas le long de ma cuisse.
Je frémis.
Les doigts coquins s’arrêtent sur ma chair, à la limite de la culotte.
Un index se glisse entre ma peau et le tissu, caressant ma fourrure intime.
Je soupire.
Il reste une main, celle-ci se coule dans ma lingerie et dégage mon sein de ma dentelle.
Mon autre nichon est libéré de même, un index agace mon mamelon.
Je roucoule.
- - Attache-moi, mon Chéri.
- - Non ce sera pour soir.
- - Mais tu me frustres.
- - C’est étudié pour, ma belle.
Puis doucement, il pousse le présentoir vers le dressing, puis le fait tourner sur lui-même.
- - Tu vois, ça pivote facilement, comme ça tu es accessible de partout, c’est pratique !
J’ouvre les yeux. Pierre dispose les portes en miroir pour que je puisse me voir sous toutes les coutures.
De face mon visage repose sur la mentonnière, Pierre la remonte doucement et me courbe la nuque légèrement en arrière.
De ...
... profil, je peux voir ma belle poitrine pendre sous moi, je l’imagine sans peine lestée de pinces et de poids.
Pierre appuie avec douceur sur mes reins pour me cambrer.
Je saisis la vue de mon postérieur cambré, dans la glace. Même avec la culotte, j’imagine sans peine la disponibilité de mes orifices. Je suis heureuse. D’ailleurs, une tache d’humidité suspecte apparaît sur mon entrejambe.
- - Tu as vu, c’est confortable.
- - Pour un homme, je n’en doute pas.
- - Un peu de contrainte ne te fera pas de mal, ma sultane, tu veux que je t’aide à descendre.
- - Non, laisse-moi encore un peu dessus.
Je ferme mes paupières, imaginant les sévices que je veux subir. Je m’imagine en lady anglaise, devant mon lord, avec le majordome qui lui tend la cravache, devant le personnel rassemblé de notre maisonnée. Ou mieux encore, mon seigneur confiant le fouet au butler pour lui déléguer ma punition.
En sortant du restaurant, j’attrape mon aimé par le bras et je me colle à lui.
- - Tu as fait exprès de me faire languir, mon chéri.
- - Tu es une cérébrale ma beauté, l’attente fait partie du plaisir. Me répond-il
- - Pressons nous un petit peu quand même
Je monte l’escalier devant lui, en exagérant le roulement de mon cul. Une fois dans la chambre, je jette ma veste dans le dressing, ma jupe la suit. Il fait glisser mon chemisier sur mes épaules. Puis il libère ma poitrine de son soutien. Il effleure mes pointes qui se dressent instantanément. Ses pouces se glissent ...