1. Jeux entre frères (11)


    Datte: 21/11/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... voir son anus s’élargir doucement. À chaque morceau de bois de couleur elle gémissait un peu ou lâchait des « Humm ! » ou des « Oh, oui ! » Étouffés. Les mains de Lyli semblaient connaître le corps d’Aurèlie par cœur, chaque geste était précis, chaque caresse allait là ou il fallait et juste au bon moment pour faire onduler Aurelie. Les ondulations appelaient sans cesse des « Encore plus et encore plus fort ! », ses petits mamelons se dressaient petit à petit à chaque passage des mains de Lyli qui pressaient les petits seins tout ronds et tout mignons de la belle blonde. J’enfilais toujours les crayons, Lyli dévorait maintenant les tétons exacerbés de la belle dont le souffle devenait plus rapide et plus puissant. Son ventre réclamait en se creusant comme pour appeler un je ne savais pas quoi ; par contre Lyli le savait, ses doigts avaient ouvert le passage. Elle me jeta un regard qui voulait me dire: « Alors tu te bouges, tu ne vois pas qu’elle réclame, idiot ! ».
    
    Elle avait raison, j’étais un peu gauche ou plutôt intimidé. Il faillait que j’y aille.
    
    J’avais le trac comme un acteur entrant en scène, mais le regard foudroyant de Lyli me fit comprendre qu’il était plus que temps d’agir. Je pris une grande respiration, guida mon engin gonflé à bloc, et pénétra doucement dans l’antre de la belle qui gémit instantanément. Que c’était doux, légèrement humidifiée, ma verge entra en entier dans son vagin, puis je reculais un peu. Lorsque mon gland arrivait à presque sortir ...
    ... de son vagin je rentrais d’un coup sec en la burinant pour finir par presque ressortir encore, et recommencer.
    
    Mon gland sentait la proéminence que faisaient les crayons prisonniers dans son derrière ; je les lui avais tous mis. Son ventre ondulait, elle avait lâché ses genoux et posé ses talons sur mes épaules ; ses mains se déplaçaient nerveusement en permanence. Au fur et à mesure que j’allais et venait en elle, elle posait ses mains sur son ventre, attrapait le bras de Lyli ou le bord de la table puis, elle se crispa les poings fermés d’un coup. Et là, les choses allèrent très vite, elle se cramponna à nouveau aux rebords de la table. J’accélérais, son souffle devint fort et saccadé, son vagin se referma sur le mien si fort que je le frottement déclencha en moi une jouissance extrême. J’avais l’impression de lui envoyer des flots de sperme, elle venait tout comme moi d’arriver à un orgasme terriblement bon. Puis je me retirais en douceur, elle me tendit la main, elle me dit :
    
    — Viens, tu as été formidable ; t’es un champion.
    
    Punaise, je venais d’obtenir le diplôme du parfait queutard ! J’étais heureux
    
    Les deux garçons attachés avaient joui sous la torture si excitante des coups de paddle. Puis nous fîmes une pose casse-croute. J’avais réussi à m’assoir à côté d’Aurélie et comme les bancs étaient à peine suffisamment grands pour contenir tout le monde ; je me collais à elle. Je passais ma main sur sa cuisse et lorsque je tentai d’atteindre sa minette, elle me ...
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