1. Le petit bar 2/4


    Datte: 20/11/2020, Catégories: fhh, extracon, cocus, inconnu, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, facial, Oral pénétratio, fsodoextraconj, bourge, Auteur: Cokinou, Source: Revebebe

    ... écarte bien, que Jean-Paul puisse bien tout voir.
    
    Sonia écarta encore ses cuisses, ne cachant plus rien de son intimité. Elle était belle, désirable et elle le savait. Sa robe courte remontait naturellement sur ses hanches.
    
    — Elle est belle, hein Jean-Paul ! dit l’électricien à son collègue. Je t’avais dit qu’il suffisait de lui demander. Cette petite bourgeoise meurt d’envie de se dévergonder.
    — Maintenant touche-toi, ajouta-t-il.
    
    Après une trop brève hésitation qui me fit enrager, Sonia glissa sa main vers son sexe et commença à se caresser. S’exhiber devant un inconnu semblait l’affoler. L’électricien ne l’avait pas touchée ! Simplement en lui parlant, en lui demandant, il avait eu ce qu’il voulait. Sonia se caressait maintenant devant un inconnu lubrique.
    
    — Que veux-tu d’elle, Jean-Paul ? demanda l’électricien.
    — Qu’elle continue ! lui répondit Jean-Paul.
    — Vas-y, mets-toi un doigt bien au fond, ajouta l’électricien.
    
    Sonia obéissait. Jean-Paul s’enhardit :
    
    — Écarte encore tes cuisses ! ordonna-t-il, et montre-nous aussi tes seins.
    
    Sonia baissa le haut de sa robe, dégageant ses petits seins. Ne percevant aucune résistance, les mots de Jean-Paul devinrent plus crus :
    
    — Continue à te branler, ne t’arrête pas, lui dit-il, enfonce deux doigts.
    
    Ma femme s’exécuta. Elle avait un peu glissé sur le canapé. Elle montrait ses seins, ses cuisses étaient largement ouvertes. Avec ses bas et ses escarpins elle était remarquablement excitante. Elle se ...
    ... branlait maintenant profondément sans retenue sous les yeux de ses voyeurs. Jean-Paul souriant s’était rapproché de ma femme pour mieux observer.
    
    — Elle est trempée ! dit-il à son collègue. Elle adore se montrer ! Tu avais raison, elle est terrible !
    — Tiens, mets-toi ça, dit-il en tendant la bouteille de bière vide à Sonia. Ma femme se saisit de la petite bouteille et se l’enfonça au fond du sexe. La bouteille allait et venait au grand plaisir de ma femme et de ses voyeurs.
    — Mets-toi à genoux, que je vois bien ton cul, lui ordonna alors Jean-Paul.
    
    Tous ces mots crus que je n’avais jamais osé prononcer semblaient l’envoûter. Les ordres étaient secs et directs. Sonia s’y soumettait. Elle se mit en levrette sur le canapé, le buste sur le dossier, les fesses dirigées vers Jean-Paul. Elle continuait à se branler avec la bouteille.
    
    L’électricien se plaça de l’autre côté du canapé et tendit la bouteille qu’il avait en main vers son visage. Sonia se mit alors à lécher la bouteille, puis la prit dans sa bouche.
    
    Jean-Paul s’était saisi de la bouteille et imprimait maintenant un va-et-vient. Sonia gémissait.
    
    — C’est parfait tout ça, dit Jean-Paul. Quel beau cul de bourgeoise ! Je crois que c’est le moment de sucer Marc !
    
    Marc ! C’était donc son nom. L’électricien dont j’ignorais jusqu’alors le nom se prénommait Marc.
    
    Marc dégrafa son pantalon et sortit un sexe épais en totale érection que Sonia prit en bouche immédiatement. Il était évident qu’elle avait perdu tout ...