1. Le petit bar 2/4


    Datte: 20/11/2020, Catégories: fhh, extracon, cocus, inconnu, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, facial, Oral pénétratio, fsodoextraconj, bourge, Auteur: Cokinou, Source: Revebebe

    Ma femme Sonia me trompe. Depuis je ne sais combien de temps, elle rencontre chaque mardi à 14h un électricien qui a réalisé des travaux à notre domicile. J’ai installé une caméra miniaturisée qui filme ses ébats dans notre salon. Mon épouse, petite bourgeoise, ma douce femme et mère modèle a décidé de se dévergonder. À ma surprise et à ma colère succède une excitation, une envie de découvrir ma femme et de savoir quelles sont les limites de ses fantasmes.
    
    La caméra enregistrait. En haut à gauche de l’écran était inscrite la date et l’heure : 12/05/2009 13h52. Sonia préparait quelques apéritifs. Elle portait sa robe moulante et courte, bleu marine avec de gros boutons blancs, probablement des bas, des escarpins. Elle semblait très nerveuse. Peut-être la surprise prévue l’inquiétait-elle. À 14h la sonnerie retentit. Dans le champ de la caméra je découvris l’électricien mais aussi un autre homme que je reconnaissais ! C’était l’homme d’une cinquantaine d’année que j’avais vu le premier jour au petit bar.
    
    Ils s’installèrent sur le canapé à côté de ma femme pour l’électricien et sur le fauteuil en face pour son copain. Le début de la conversation fut banal, mais je sentais Sonia troublée par la présence de cet inconnu. Cet homme était probablement sa « surprise ». Elle leur servit des bières. Ses bonnes manières de femme du monde reprirent le dessus. Sa bonne éducation et son habitude de recevoir lui donnèrent par automatisme une certaine contenance.
    
    — J’ai tout ...
    ... expliqué à Jean-Paul ! Je lui ai dit que tu étais une petite bourgeoise mais aussi une petite salope, lâcha tout à coup l’électricien.
    
    Sonia se figea. Elle se mit à rougir. Ne répondit pas, toussota. Le temps semblait suspendu.
    
    — Je préfère te le dire tout de suite, Jean-Paul est un voyeur pervers, renchérit l’électricien. Il est venu pour voir te voir nue !
    
    Sonia avait les jambes croisées. Elle essaya de se donner une certaine contenance en se passant la main dans les cheveux et en buvant une gorgée. L’électricien continua :
    
    — Je lui ai aussi dit que je t’avais donné l’ordre de ne pas mettre de culotte aujourd’hui. Il veut savoir si tu m’obéis. Ne me fais pas mentir. Décroise tes cuisses !
    
    Ma femme ne bougeait toujours pas. La rougeur de ses joues s’était un peu estompée. Un grand silence suivit l’ordre de l’électricien. Sonia but encore une gorgée, probablement pour se donner un peu de courage.
    
    — Alors ? reprit-il, je suis sûr que tu as très envie de te montrer à lui. Il en meurt d’impatience. Une petite salope comme toi est probablement aussi exhibitionniste. Décroise tes cuisses !
    
    Sonia respira profondément, sourit et décroisa alors lentement ses cuisses, gardant les genoux bien serrés et resta ensuite immobile. Les deux hommes la fixaient.
    
    — Écarte un peu pour que Jean-Paul puisse voir que tu n’as pas de culotte.
    
    Ma femme écarta alors légèrement ses genoux. Elle ne portait effectivement pas de culotte.
    
    — C’est bien, l’encouragea l’électricien, ...
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