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Voyage voyage 1 : Phénicie
Datte: 25/04/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Hâakon, Source: Hds
... regard supportant de plus en plus mal le mien. Elle poussa de nombreux cris à sa jouissance, jouissance qui se prolongea de long moment grâce à des coups de riens particulièrement intenses. Je me préparais à jouir à mon tour quand elle m'arrêta. En effet elle voulait me voir jouir, voir mon fluide viril hors de mon corps et ma verge cramoisi. C'était une pratique dont je n'avais pas l'habitude, encore moins de la part d'une femme de sa condition mais je m'y soumettais avec plaisir. Je fermais les yeux pour contenir l'orgasme brulant qui arrivait, faisant le vide dans mon esprit pour gagner quelques précieuses seconde d'un plaisir intense et quand je sentis malgré mes dents serrés pour tenir, que je venais alors je me retirai de la reine. Immédiatement sa main s'enroula autour de mon membre le caressa avec dextérité et je craquais. Je hurlais de bonheur à chacun de mes jets que je sentais traverser mon corps, ma verge était agité de soubresauts que la main de mon amante peinait à tenir et même quand le plaisir me noya presque mon membre restait une source de plaisir car sa main n'avait pas une seconde cesser ses caresses. Je posais mes yeux sur elle et un sourire illumina mon visage, comme le sien. Une longue trainée courait entre ses deux seins eux même recouverts de gouttes de ma semence. Son ventre blanc était lui aussi recouvert de quelque gouttes et sa main qui tenait ma verge en était aussi recouverte. Elle passa son autre main sur son corps pour mon plus ...
... grand plaisir et prit une pose langoureuse qui m'attira immédiatement contre elle pour la couvrir de baisers. Rassasiés de plaisir nous sommes séparés et c'est intensément satisfait que je fus reconduit dans les appartements qui m'étaient donné. La nuit fut...emplie de cauchemars. Je revoyais la grande verte se déchainer et drosser le navire. J'entendais à nouveau les cris des marins qui passaient les uns après les autres par dessus bord. Je ne réussissais pas à les sauver, je tirais sur les cordes pour les sauver en vain, je tentai de manoeuvrer le bateau mais échouai. A mon réveil le soleil commençait tout juste à se lever. J'entendis les cris des animaux exotiques venus de la grande savane saharienne dans les jardins de la reine. A coté de moi une servante somnolait, une main posé sur mon torse. J'inspirais profondément l'air du matin et me dirigeait vers une table où était disposés des mets. -Ton sommeil a été agité poète. Tu criais des noms et te débattait. La servante s'était levée. Sa peau nue dégageait une fraicheur certaine. -Excuse moi si je t'ai frappé dans mon agitation. Être le seul à avoir survécu est une malédiction. -Tu es tout pardonné poète. -Toutefois que faisais tu dans mon lit ? Je n'avais pas demandé, ni désiré, une compagnie. -La reine a ordonné que tout tes désirs soient comblés, y compris ceux que tu n'as pas formulé. Elle a dit que c'était le moins qu'elle pouvait faire pour te récompenser. Vient te délasser poète. La proposition ...