Trixie – chap 6 – Un patron exigeant - Histoires de Sexe

Trixie – chap 6 – Un patron exigeant

... lui, me chuchota mon mari. »

Je m'appliquais, continuais ma fellation en regardant son chef, d'un air lubrique.

« Trixie, je crois que Monsieur Portal, serait ravi que tu te masturbes devant nous... »

Ne quittant pas son patron des yeux, je m'assis sur le canapé relevais mes mollets pour lui offrir une vue dégagée sur ma chatte. J'effleurais du bout des doigts ma fente qui commençait à être moite, me renversais sur le dos et écartais mes jambes au maximum, J'écartais mes grandes lèvres,..

« Robert, vous aimez ma chatte ? Regardez, vous m'excitez... je mouille. Je suçais mon majeur et mon annuaire et les insérais dans ma cavité vaginale, Je n'entrais que les deux premières phalanges, puis j’accélérais progressivement le cadence, entrant la totalité de mas doigts, le yeux clos, je renversais ma tête sur le dossier. Je commençais à gémir d'une petite voix...

« Oh putain c'est bon, ouiiiiiiii, j'adore me masturber lorsqu'on me regarde, ça vous plaît Robert ?

Ouiiiiiiii, c'est bon, j'adore, vous voyez mon clito.... c'est bon de le caresser... oh putain ouiiiii.... »

Prise au jeu, je m'excitais, au bout de cinq minutes, mon corps était parcouru de frissons, mes épaules tremblaient, de ma main gauche, je me caressais les seins énergiquement, tirant sur mes tétons, les pinçant et les griffant. J'écartais en grand mes lèvres, leur offrant la profondeur de ma chatte écartelée.

« Oooohhhh, Robert... vous n'aimeriez pas venir lécher mon foutre ? Regardez mes ...

... doigts sont poisseux ! »

Je sentais monter le plaisir... je me mis à genoux, et continuait à me masturber en gémissant de plus en plus... mon ventre commençait à s'embraser, mes reins ondulaient, ma respiration devenait saccadée...

« Ouuuuiiiii, je....je va...

- Mais c'est qu 'elle va se faire jouir cette petite salope... Non... Monsieur Portal... aimerait peut-être te faire grimper au septième ciel... allez descends et occupes toi de lui... »

L'injonction de mon mari me fit retomber sur terre. A quatre pattes, je me dirigeais vers le fauteuil d'angle, Arrivée devant lui, je me redressais, enjambais ses cuisses. Il n'osait pas bouger.

« Elles ne vous plaisent pas mes jambes ? Lui dis-je en souriant. Vous pouvez toucher, je ne mords pas... »

Il s'enhardit, ses mains se posèrent de chaque côté de mes cuisses et progressèrent lentement vers mes fesses suivant les lanières du porte-jarretelles. Ses mains progressèrent, il se mit à me pétrit mes deux globes fessiers, en haletant de plus en plus rapidement. Je m'assis sur ses genoux. A travers son pantalon, je caressais son pénis. J'eus presque envie de rire. Mais j'avais promis à mon mari de l'aider, il fallait aller au bout ! Puis je déboutonnais sa braguette, sortais son pénis en érection. Il était tout juste un peu plus long que ma main qui s'y était refermée autour. Il ne la dépassait que de quelques centimètres. Il était bizarre, assez effilé, le prépuce faisait un bourrelet assez gros sous le gland.

Après ...