1. Le regard d'une inconnue


    Datte: 18/11/2020, Catégories: Première fois Masturbation Hardcore, Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... »
    
    Elle a continué de sourire dans le miroir.
    
    J’ai ajouté :
    
    « J’aimerais bien te revoir. »
    
    « Ça doit pouvoir se faire, a-t-elle dit en fermant le robinet. »
    
    Puis elle s’est approchée d’un essuie-main qui pendait près du miroir, et nos regards se sont rencontrés sans miroir.
    
    J’ai dit :
    
    « Plus tard dans la journée, ce serait possible ? »
    
    « Plutôt demain. Dans un autre bar, si ça ne te dérange pas. Ou alors chez toi ? »
    
    Elle a fini d’essuyer ses mains et elle m’a fait face. On était à moins de cinquante centimètres l’un de l’autre et je bandais.
    
    J’ai répondu :
    
    « Pourquoi pas chez moi… C’est vraiment dommage que rien ne soit possible tout de suite, tu ne crois pas ? »
    
    Elle ne s’était pas arrêtée de sourire, et elle a dit :
    
    « C’est comme ça. Tu habites où ? »
    
    Je lui ai expliqué où j’habitais et elle m’a répondu qu’elle connaissait la rue. Elle m’a proposé 14 heures et je lui ai dit que c’était parfait. Ensuite, on est resté à se regarder sans rien se dire pendant des secondes interminables. Il allait falloir qu’elle quitte les toilettes, sinon ce serait suspect au regard du barman ou de clients qui nous avaient vu entrer.
    
    Seulement, en quelques secondes on avait convenu qu’elle viendrait chez moi demain, et il était évident qu’on ne s’en tiendrait pas à bavarder de la pluie et du beau temps, alors j’ai levé une main vers elle et je lui ai touché un sein, par-dessus sa chemisette. Elle a suivi le geste des yeux et s’est laissée faire, ...
    ... sans rien dire. J’ai palpé son nichon. J’ai même détecté son téton sous l’épaisseur du tissu et du soutif qu’elle portait. Je bandais à mort, mais elle m’a dit :
    
    « Il faut que j’y aille. On se dit à demain ? »
    
    J’ai retiré ma main et j’ai hoché la tête :
    
    « OK. A demain. »
    
    Puis elle est sortie.
    
    Le soir, chez moi, je me suis branlé en repensant à cette scène dans les toilettes. Je n’en revenais pas. Rien ne disait que cette fille viendrait sonner à ma porte le lendemain, mais le seul fait d’avoir touché son nichon de cette façon m’avait mis dans tous mes états.
    
    J’ai eu beaucoup de mal à m’endormir ce soir-là. Et pendant toute la matinée qui suivit, j’ai tourné en rond chez moi en trouvant que le temps passait beaucoup moins vite que d’habitude. Des heures interminables que j’ai occupées comme j’ai pu, jusqu’à 14 heures. Et à partir de là, la vitesse du temps s’est inversée : il s’est mis à défiler affreusement vite, car chaque minute qui passait était une chance de moins pour cette fille vienne sonner à ma porte.
    
    A 14 heures 11, je n’y croyais plus. J’étais désespéré et extrêmement nerveux. Déçu et en colère qu’elle n’ait pas tenu promesse.
    
    Elle a sonné à 14 heures 12.
    
    Et, afin de dissimuler mon état d’impatience, j’ai mis quelques secondes à lui ouvrir. Elle avait mis une autre chemisette, noire celle-ci, mais elle portait le même pantalon beige. Elle souriait.
    
    « Salut, entre. »
    
    Elle m’a salué, puis elle est entrée. J’ai refermé la porte, et je ...
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