1. Le Net ce n'est pas si bien


    Datte: 18/11/2020, Catégories: fh, 2couples, fhhh, hplusag, inconnu, fsoumise, BDSM / Fétichisme Oral fgode, préservati, double, fsodo, jouet, sm, attache, yeuxbandés, init, extraconj, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... reste de la journée s’étire, interminable. À chaque bruit je pense que c’est Lise, mais il est 20 h passées quand la porte s’ouvre. Tout de suite je remarque qu’elle est éméchée et qu’elle traîne avec elle une odeur de fumée qui ne provient pas du tabac. Qu’a-t-elle fait ? Elle sait pourtant qu’elle est extrêmement sensible à ce truc et qu’elle ne contrôle plus rien. Je vais lui parler, mais un « Je suis fatiguée, je vais me coucher » me clos le bec.
    
    Dès le lendemain, je comprends que tout a basculé. Elle refuse d’expliquer son comportement. Le week-end suivant elle prétexte un rendez-vous avec une copine et me laisse. Bien sûr, je ne suis pas dupe et en passant devant la maison de nos amis, je vois sa voiture. J’ai encore un peu de fierté et n’entre pas.
    
    Les suivants sont pareils. La semaine n’est qu’une suite de silences. Je sais que ses employeurs cherchent à la joindre. Ce n’est pas possible, elle est envoûtée. Ce n’est plus « Ma Lise » qui partage ma vie, mais pour encore combien de temps ? Je pense à une séparation si rien de change. Et comment changer si tout dialogue est impossible ou fermé par un « C’est ma vie » imparable.
    
    Deux mois passent. C’est fini, je vais divorcer.
    
    Mais Drika m’appelle un dimanche midi.
    
    — Si tu veux récupérer ta femme, viens. Appelle-moi en arrivant, gare-toi assez loin, je t’attendrai dans la rue.
    
    Elle est là. En silence elle m’entraîne en faisant le tour de la maison. À la question : Lise est là ? Elle répond : oui.
    
    — ...
    ... Je veux la voir.
    — Il ne faut pas qu’on nous voit, ce n’est pas prudent. Il faut que je te parle.
    — Je veux la voir.
    
    J’insiste sur un ton qui ne supporte pas un refus.
    
    — D’accord, mais ne fais pas de bruit.
    
    Elle me guide au sous-sol, mais au lieu d’entrer dans la pièce que je connais, elle ouvre une porte et sans allumer la lumière la referme derrière moi.
    
    — Elle est là.
    
    Oui, elle est bien là. Derrière la glace, la cloison transparente, juste à quelques mètres, même si j’ai du mal à la reconnaître.
    
    — C’est une glace sans tain. Ils ne peuvent pas nous voir, mais ne fais pas de bruit, dit Drika.
    
    Lentement j’examine la pièce. Lise, car c’est bien elle, même si elle paraît différente, est bien à côté. Mais c’est une Lise transformée, une Lise blonde avec des couettes et des lunettes, une Lise rajeunie de dix ans, une adolescente qui est là. Mais pour le reste c’est autre chose.
    
    Cette Lise est attachée, immobilisée par des cordes qui pendent du plafond et qui tirent ses bras en V vers le haut. Une Lise bâillonnée avec une sangle qui rive une boule entre ses lèvres, d’où des filets de salive suintent. Une Lise, la peau d’une blancheur surnaturelle que la jupette écossaise, costume fantasmatique, qui la catalogue comme écolière, tranche avec ses seins rouges, presque violets. Ses seins sont gonflés tels des melons dont la queue pointe et je devine que quelque chose, une corde ou un élastique en est la cause, les pressant en avant. Des chaînettes pendent de ...
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